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Blog de Jean-Michel Gurret

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Jean-Michel Gurret partage avec vous ses journées, ses exercices, ses conseils minceur, et ses recettes préférées.

posté le 12-aout-2015
Alimentation : plus de protéines, moins d’AVC

Consommer davantage de protéines est corrélé avec un risque de faire un AVC moindre, mais c’est aussi l’origine de l’apport protéique qui compte dans ces bénéfiques.

Une méta-analyse a relevé que les personnes qui avaient un risque moins élevé de faire un accident vasculaire cérébral (AVC), avaient également reçu l’apport en protéines le plus conséquent. En effet, les personnes qui avaient mangé le plus de protéines – tout en restant dans des proportions raisonnables – ont eu un risque diminué de 20 % de faire un AVC par rapport à celles qui en avaient mangé moins. De plus, un apport supplémentaire de 20 grammes de protéines par jour était associé à un risque diminué d’AVC de 26 %.

D’autres investigations nécessaires
La méta-analyse a été conduite par des membres de l’Université de médecine de Nanjing, en Chine, sur des études menées pendant 10 à 18 ans aux Etats-Unis, au Japon, en Suède. Les auteurs ont souligné que de plus amples essais randomisés, nécessaires pour examiner directement la relation entre la prise de protéines et le risque d’attaque, n’ont pas été conduits. Par ailleurs, des études expérimentales supplémentaires sont nécessaires pour confirmer les effets bénéfiques de la prise de protéines.

Moins de graisses saturées
Dana Martini, psychiatre américaine qui a commenté l’étude, a indiqué que « la clef est de déterminer quelle est la source des protéines. Est-ce de la viande rouge, du poisson, un légume ? » Le ratio de graisses par rapport aux protéines est à considérer, selon elle. En effet, l’important est de s’assurer que la proportion de graisses mono-insaturées (aliments végétaux tels que l’avocat, les huiles végétales…) est plus élevée que la proportion de graisses saturées (majoritairement les produits d’origine animale).
De leur côté, les auteurs de l’étude concluent en disant que déterminer un régime de prévention des attaques cardiaques est aussi complexe que le sont les divers régimes alimentaires des hommes » à travers le monde. Par ailleurs, les auteurs stipulent qu’aujourd’hui, « il paraît incomplet de se focaliser uniquement sur l’apport protéique » en ce qui concerne la réduction du risque d’AVC. Le régime alimentaire est à considérer dans son ensemble…

lu sur pourquoidocteur.fr

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posté le 10-aout-2015
Quand l’émotion nous pousse à manger

On se console en mangeant, mais mal. Une récente étude révèle que les femmes présentant des symptômes dépressifs optent pour des aliments dits de "snacking", riches en calories, gras et sucrés.

C'est une loi de la nature (ou presque) : quand on ne va pas bien, on mange. Mais le plus fâcheux dans cette histoire c'est qu'on mange tout et n'importe quoi (enfin surtout n'importe quoi) et qu'on se tourne plus facilement vers la tablette de choco praliné que vers la jardinière de légumes...

La dernière étude, publiée dans le Journal of Nutrition et menée sur 30 240 adultes ayant répondu à au moins six enquêtes alimentaires, révèle que les femmes présentant des symptômes dépressifs sont plus attirées par les aliments dits de "snacking", riches en calories, gras et sucrés. On ne vous fait pas de dessin : pâtisseries, chocolat, biscuits, gâteaux... Autant d'aliments qui ne se mangent pas forcément à table et mauvais pour notre ligne et notre santé.

Un résultat qui vaut pour les femmes mais pas pour les hommes...

Parce qu'on ne change pas une équipe qui gagne, même face aux émotions la parité n'est pas respectée. Si ce symptôme d'émotionnalité alimentaire se retrouve chez 60% des participants présentant un trouble dépressif, ces résultats ne valent que pour les femmes.

Comme l'avait démontrée une précédente étude publiée dans l'American Journal of Clinical Nutrition, cette suralimentation sous le coup de l'émotion conduit au surpoids et à l'obésité. Alors pour digérer le choc émotionnel, on préfèrera une sortie entre copines ou une bonne séance de sport pour évacuer notre colère par un effort sain plutôt que par une orgie de tartines au Nutella.

lu sur topsante.com

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posté le 7-aout-2015
Mauvaise haleine : voici pourquoi l'ail ne vous rate pas après le repas

Ce n'est pas pour rien qu'il effraie les vampires. Lui, c'est l'ail, ce précieux condiment qui relève presque n'importe quel plat... et détruit en un rien de temps votre réputation et votre pouvoir de séduction.

La science s'est penchée sur le pouvoir incommensurable de cette petite gousse sur l'haleine et a résolu l'énigme. L'American Chemical Society a publié une vidéo en juin 2014 pour expliquer comment l'ail haché (la précision a son importance) parasite en quelques bouchées votre souffle.

Le responsable? Un composé organique qui n'apparaît que lorsque l'ail est coupé. Quand la gousse est hachée, l'alline, un composant de l'ail se transforme en allicine, la molécule qui donne à l'ail son doux fumet. Elle produit à son tour du diallyl disulfide, de l'allyl méthyl disulfide, de l'allyl mercaptan et de l'allyl méthyl sulfide. Ce dernier présente un sacré challenge pour notre organisme qui met bien plus de temps que pour les trois autres composants à l'assimiler.

Dans votre sueur, votre souffle et votre urine, l'ail est partout!

Entre temps, ce composé organique se taille la part du lion dans votre haleine. En effet, lorsqu'il passe dans le sang, il refait surface dans votre sueur, votre respiration et même votre urine. Si l'ail est très odorant, il est aussi un précieux allié pour votre santé. Utilisé par les Égyptiens, les Grecs, les Romains, l'ail a des propriétés reconnues contre l'hypertension, la mauvaise circulation sanguine, certains cancers et mêmes certaines bactéries comme le staphylocoque doré.

Pour profiter au mieux de ses bienfaits, il doit être consommé crû et fraîchement écrasé.

Voici quelques conseils pour se débarrasser de son odeur :

1 - Le persil
Ce n'est pas la méthode la plus agréable : mâcher du persil pendant 5 minutes ou le consommer sous forme d'infusion.

2 - Le lait
Selon une étude publiée en 2010, le lait offre une bonne alternative pour chasser cette mauvaise haleine. À boire pendant le repas.

3 - La cannelle
La cannelle a des propriétés antibactériennes reconnues.

4 - L'aneth
Tout comme l'aneth

5 - Les graines d'anis vert
Ou l'anis dont les graines peuvent être consommées en fin de repas.

6 - Bicarbonate de soude
Comme le rappelle le site trucs-utiles.com, le bicarbonate de soude est fréquemment utilisé dans les produits pour l'hygiène dentaire. Après un repas très aillé, brossez-vous les dents et faites-vous un bain de bouche de bicarbonate de soude.

7 - Brossez-vous la langue!
...60 % des bactéries de la cavité buccale se trouvent à la surface de la langue, dans des replis appelés villosités. La langue est, de ce fait, responsable de 41 % des mauvaises haleines d’origine buccale.

8 - Et pour vos mains, du citron!
Frottez du citron sur vos mains pour faire partir l'odeur de l'ail!

Lu sur huffingtonpost.fr

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posté le 5-aout-2015
Salade d’avocats et ananas

Pour 4 personnes
Ingrédients

• 3 avocats ou 1 gros avocat du Brésil
• 2 pamplemousses
• 1 petit ananas
• 12 queues de crevettes
• le jus de 1 citron jaune
• 1 piment rouge frais
• 30 g de pistaches décortiquées
• 1 laitue romaine
• 2 cuil. à soupe d’huile de pépins de raisin
• sel, poivre du moulin

Étapes
Nettoyez les feuilles de romaine, séchez-les et garnissez-en un saladier.
Pelez à vif les quartiers de pamplemousse, gardez le jus qui s’écoule. Épluchez l’ananas et coupez-le en dés. Épluchez les avocats, coupez-les en cubes, puis ajoutez le jus de citron. Mélangez et égouttez.
Préparez la sauce avec l’huile de pépins de raisin, le jus des pamplemousses, le sel et le poivre.
Mélangez les fruits et les crevettes, assaisonnez et parsemez de fins filaments de piment et de pistaches.

RECETTE PAR MICHEL CHAST, GUY MARTIN.

Lu sur lepoint.fr

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posté le 3-aout-2015
Comment bien choisir ses fruits?

L'été est la saison reine des fruits. Abricots, pêches, melons, fraises font le bonheur de nos papilles. Enfin, quand on les a bien choisis. Qui n'a jamais eu de mauvaises surprises, entre les melons qui n'ont pas de goût et les abricots à la texture farineuse? Bien choisir ses fruits n'est en effet pas une mince affaire.

Clotilde Jacoulot est primeure à Morteau (Doubs) et meilleure ouvrière de France depuis 2011. Elle vote pour des fruits souvent origine France, au "goût généreux", "juteux", et peu importe si ça tache "les habits des gamins", a-t-elle expliqué à une journaliste de l'AFP. Voici ses conseils pour ne pas vous tromper sur les étals des marchés.

Pêche et abricot: "plus c'est gros, plus c'est bon"

Pour les pêches, nectarines et abricots, il faut privilégier les gros calibres, signe que le fruit a bien mûri, explique-t-elle. "L'odeur est importante et il ne faut pas se fier à l'apparence. Il y a des abricots clairs qui sont très bons".

Elle est contre la nouvelle tendance aux pêches et nectarines fermes. "Pour moi une bonne pêche doit être juteuse et sucrée. Et si vous ne voulez pas que ça tache les habits des gamins, et bien il y a la pêche plate, plus facile à manger".

Melon, regardez le pédoncule

Sur les melons, il faut faire attention à l'origine. Car la mention "Charentais" indique uniquement la variété du fruit. Et il y a beaucoup de Charentais cultivés au Maroc.

Un bon melon, pour Clotilde Jacoulot, doit être lourd, avec un pédoncule qui se décroche facilement, signe que le fruit est bien chargé en sucre. "C'est le sucre qui le fait gonfler et pour moi, le meilleur, c'est un melon fendu".

Pour les pastèques, il faut qu'elles soient gorgées d'eau et sucrées. Il suffit de taper avec son poing et il faut que ça sonne creux.

Tomates, attention aux imitations

"Pendant quinze ans, j'ai été malheureuse, les tomates étaient toutes rondes et lisses. Ça a vraiment changé il y a cinq ans". Maintenant il y a une grande variété et pour bien choisir, il faut les connaître.

Ainsi sur des variétés comme Cœur de Pigeon, Merinda, plutôt prendre de petits calibres; et sur les Noires de Crimée, les Marmandes ou les Coeurs de bœuf des "très grosses".

La vraie Cœur de bœuf est assez "pâteuse" et "on doit l'utiliser surtout poêlée, ou à la rigueur on met deux tranches dans une salade". Or, on trouve de plus en plus de tomates qui ont la forme Cœur de bœuf mais qui n'en sont pas. Pour reconnaître les vraies, maintenant les producteurs précisent souvent "véritable Cœur de bœuf" sur leurs cagettes.

Concombres et poivrons, du ferme !

Côté légumes, les poivrons "doivent être bien fermes et avec un pédoncule très vert". Une couleur rouge vive n'est pas forcément signe de bonne maturité.

Même chose pour les concombres dont Clotilde Jacoulot conseille de prendre les petits concombres turcs ou les Noa, "plus digestes" et dont "on peut même manger la peau".

Enfin, pour les aubergines, attention aux légumes qui ont passé trop de temps au frais: ils deviennent noirs.

Lu sur huffingtonpost.fr

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