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Blog de Jean-Michel Gurret

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Jean-Michel Gurret partage avec vous ses journées, ses exercices, ses conseils minceur, et ses recettes préférées.

posté le 24-aout-2015
Trop gras, trop sucré... une pétition pour classer les aliments

Les étiquettes nutritionnelles des produits sont souvent compliquées, parfois même incompréhensibles. C'est pour cela qu'une pétition citoyenne a été lancée pour créer un code couleur.

"Éviter de manger trop gras, trop salé, trop sucré" est plus compliqué qu'il n'y parait. Des étiquettes trop compliquées, mal expliquées, c'est ce que dénonce une pétition citoyenne qui réclame un logo nutritionnel simple. Des sociétés médicales, ainsi que des associations de consommateurs et des patients se sont réunis pour défendre cette mesure, proposée dans le rapport sur la nutrition remis en janvier à la ministre de la Santé.

Si cette mesure se heurte aux lobbys de l'industrie agroalimentaire, le collectif espère tout de même la voir intégrée dans la prochaine loi de santé publique. Les défenseurs de cette pétition précisent que "l'objectif n'est pas de pénaliser" le secteur de l'agroalimentaire, mais au contraire "de travailler avec lui pour améliorer l'offre".

Cinq couleurs, du vert au rouge
Pour remplacer l'étiquetage à l'arrière du produit, le tableau nutritionnel, la mesure prévoit de créer une échelle de qualité nutritionnelle, facile à comprendre par des repères simples. Le score de qualité nutritionnelle doit servir de base à cette échelle. C'est la teneur des aliments en éléments nutritionnels pertinents, qu'ils soient positifs ou négatifs, qui sera prise en compte. L'échelle dépendra de la charge des produits en calories, sucres simples, sels ou fibres par exemple. Enfin, les produits seront classés en cinq couleurs (du vert au rouge), et avec des lettres qui iront de A, pour la meilleure note, à E, pour la moins bonne.

Cet étiquetage simplifié permettra au consommateur de "comparer la qualité nutritionnelle des différents aliments entre eux". Ainsi, il sera plus facile de comparer les produits, les plats de marques différentes. Le consommateur pourra choisir des céréales pour le petit-déjeuner moins grasses ou moins sucrées, ou même comparer le profil nutritionnel de plats préparés comme les raviolis.

Lutter contre le surpoids et l'obésité
Cette échelle devrait être apposée sur tous les emballages des aliments et des boissons manufacturés ou préemballés. Mais les chaines de restauration collective, comme les fast-foods, sont aussi visées, puisque leurs plats et leurs boissons devront aussi faire figurer ces repères.

Cette mesure veut s'attaquer principalement aux déséquilibres alimentaires et à la sédentarité, principaux facteurs des maladies chroniques touchant les pays industrialisés. Le collectif parle même "d'une épidémie de surpoids et d'obésité" touchant 17 % des Français, et 35 % des Américains. Mais d'autres maladies découlent directement des déséquilibres concernant l'alimentation : les cancers, les maladies cardiovasculaires, le diabète ou l'hypertension artérielle.

Lu sur lci.tf1.fr

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posté le 21-aout-2015
L'ALCOOL :un fléau toujours d’actualité

Selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS) l’alcool serait à l’origine de 3.3 millions de décès en 2012. Le rapport de l’OMS nous fait un rappel sérieux sur les dangers liés à la consommation d’alcool.

En dehors du risque de développer une certaine appétence pour les boissons alcoolisées voire de tomber dans l’alcoolo-dépendance, s’accompagnant généralement de conséquences physiques, psychiques, sociales et comportementales, la consommation abusive d’alcool est à l’origine de plusieurs maladies telles que certains cancers ou encore la cirrhose du foie. L’OMS nous précise d’ailleurs que l’alcool serait responsable de 200 maladies. Il fragiliserait également l’organisme face à des maladies infectieuses comme la tuberculose ou la pneumonie.

Comment remédier à l’augmentation de l’usage nocif de l’alcool ?
De nombreux gouvernements ont intensifié leurs stratégies préventives visant à réduire la disponibilité des boissons alcoolisées sur le marché : leurs taxes ont été augmentées, il existe une limitation d’âge minimale et une réglementation concernant leur commercialisation.

La consommation d’alcool en quelques chiffres
Toujours d’après le rapport publié par l’OMS, on estime que près de 40 % de la population mondiale boit de l’alcool, la moyenne annuelle de la consommation d’alcool pur et par personne âgée de 15 ans et plus étant de 17 litres.
Le nombre de décès lié à l’alcool est plus important chez les hommes que chez les femmes. Cependant, on note une augmentation de la consommation d’alcool pour ces dernières.

La consommation d’alcool par personne est plus élevée en Europe. Elle tend à s’accroître dans les régions de l’Asie du Sud-Est et du Pacifique occidental.

Les problématiques liées à l’alcool ne s’arrêtent pas à la simple consommation. Elles prennent en compte les conséquences sur la dimension sociale et sanitaire de l’individu.

lu sur passeportsante.net

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posté le 19-aout-2015
Quelle huile d'olive choisir ?

Les propriétés cardiovasculaires de l'huile d'olive sont dues aux polyphénols qu'elle contient.

Pour la première fois, les effets bénéfiques sur le taux de cholestérol sont démontrés chez l'homme en situation réelle de consommation.

De plus, des différences en fonction de la qualité des huiles employées sont clairement observées.

Huile d'olive, cholestérol et polyphénols

Les effets bénéfiques de l'huile d'olive sont attribués à sa richesse en polyphénols, des composants dits antioxydants qui, en quelque sorte, détoxiquent l'organisme et aident ainsi à maintenir le coeur et les vaisseaux en bon état de marche.

Les effets des polyphénols de l'huile d'olive sur les taux de cholestérol circulants ont été constatés in vitro, c'est-à-dire dans des tubes à essais, mais jamais chez l'homme in vivo. L'étude européenne Eurolive vient combler ce manque.

Polyphénols et "bon cholestérol"

L'étude a été effectué sur 200 hommes recrutés dans 5 pays (Espagne, Danemark, Finlande, Italie, Allemagne). A trois reprises, ils devaient adopter durant 8 jours une alimentation dont les matières grasses ajoutées étaient strictement apportées par de l'huile d'olive (25 ml par jour, soit l'équivalent d'une cuillère à soupe).

Trois types d'huile d'olive aux teneurs différentes en polyphénols ont été testés :

huile d'olive vierge contenant 366 mg/kg de polyphénols ;
huile d'olive raffinée contenant 2,7 mg/kg ;
huile d'olive mixte (mélangeant huile d'olive vierge et huile d'olive raffinée) contenant 164 mg/kg.
Après chaque période de 8 jours, un bilan lipidique a été réalisé.

On observe une augmentation progressive du taux de HDL-cholestérol, également appelé " bon cholestérol ", lorsque la teneur en polyphénols de l'huile d'olive consommée augmente.

Choisir l'huile d'olive la plus riche en polyphénols : vierge extra
Par rapport à la valeur initiale, le taux de HDL-cholestérol s'est élevé :

de 0,99 mg/dl avec l'huile d'olive raffinée,
de 1,22 mg/dl avec l'huile d'olive mixte,
de 1,74 mg/dl avec l'huile d'olive vierge.
Il s'agit ici de la première étude montrant directement chez l'homme l'importance du degré de raffinage, lequel conditionne la teneur en polyphénols.

Diminution importante du risque cardiovasculaire

Les augmentations de 0,99 à 1,74 mg/dl du taux de HDL-cholestérol sont des notions peu parlantes pour le grand public. Alors sachez qu'une élévation d'1 mg/dl du taux de bon cholestérol est associée à une baisse de 2 à 3% du risque cardiovasculaire.

En pratique, consommer de l'huile d'olive est bon pour le coeur et les vaisseaux et il est recommandé de choisir une huile d'olive vierge extra, c'est-à-dire la plus riche en polyphénols.

lur sur e-sante.fr

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posté le 17-aout-2015
Pourquoi le STRESS déclenche l'envie de sucré

Les hormones dites "glucocorticoïdes", peuvent agir directement sur les cellules des récepteurs du goût dans des conditions de stress. Pour des chercheurs américains, cela explique l'envie de sucré.

Pourquoi certaines personnes se jettent-elles sur les barres chocolatées ou autres confiseries sucrées dès qu'elles en voient ? A cette question, des chercheurs américains du Monell Center de Philadelphie apportent un début de réponse ce mercredi. D'après eux, se sont les situations stressantes qui augmenteraient nos envies sucrées. La faute en fait aux hormones du stress qui sont cachées dans les cellules gustatives orales chargées de la détection d'aliments sucrés.

Le goût sucré sensible au stress
En détails, ils expliquent que ces hormones nommées "glucocorticoïdes" (GC) s'activent lorsque l'esprit d'une personne est en situation de stress. Puis elles agiraient directement sur les cellules des récepteurs du goût. Ainsi, grâce à ce mécanisme, elles ont une incidence sur la réponse des cellules au sucre.
M. Rockwell Parker, chimiste au Monell Chemical Senses Center confie : « Le goût sucré peut être particulièrement sensible au stress. Nos résultats renseignent sur le mécanisme moléculaire qui permet d'expliquer pourquoi certaines personnes mangent plus d'aliments sucrés en situation de stress. »

Des récepteurs présents sur la langue
Par ailleurs, partant du postulat que le stress peut avoir des effets importants sur le métabolisme et le choix alimentaire, les chercheurs ont utilisé un modèle de souris pour savoir où les cellules des récepteurs du goût contiennent ces récepteurs GC. Les résultats ont révélé que les récepteurs GC sont présents sur la langue, où ils sont spécifiquement localisés au niveau des cellules qui contiennent les récepteurs pour le sucré, l'umami dit « goût savoureux » et l'amer.
Enfin, les plus fortes concentrations de récepteurs GC ont été trouvées dans les cellules "TAS1R3" du goût, qui sont particulièrement connues pour être sensibles au goût sucré et umami.
« Nos résultats fournissent l'une des premières évaluations qui prouve formellement que les changements hormonaux liés au stress interagissent sur nos choix alimentaires », conclut l'équipe. Des résultats inédits publiés dans le numéro de juin de la revue scientifique Journal Nanophotonics.

lu sur pourquoidocteur.fr

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posté le 14-aout-2015
Code couleur sur les aliments : une piste à l’étude, selon Marisol Touraine


La ministre de la Santé Marisol Touraine a jugé « intéressante » la piste d’un code couleur sur la nourriture, pour aider les consommateurs à se repérer sur les qualités nutritionnelles des aliments. Cela permettrait de « faire face à des enjeux de santé publique et (cela) favoriserait une bonne information sur l’alimentation », a-t-elle déclaré sur Europe 1, mercredi 4 juin.

Pour autant, il s’agit « d’une piste à l’étude et les décisions n’ont pas encore été prises » quant à son introduction dans la loi de santé publique, a précisé Marisol Touraine.

La pétition citoyenne en faveur de la mise en place d’un étiquetage nutritionnel simple, intuitif et compréhensible par tous a déjà recueilli sur internet plus de 20 000 signatures. Mais cette mesure se heurte à la résistance des lobbies de l’industrie agroalimentaire.

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