En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies pour vous proposer des services et offres adaptés à vos centres d'intérêt. En savoir plus et gérer ces paramètres.

ans

cm

kilos

kilos



Derniers articles
voir toutes les archives
tezzz

Blog de Jean-Michel Gurret

Suivez l'actualité de votre coach avec ce blog !
Jean-Michel Gurret partage avec vous ses journées, ses exercices, ses conseils minceur, et ses recettes préférées.

posté le 28-septembre-2015
Anti-déprime : pour voir la vie en rose, mangez des carottes !

Nos grands-mères nous répétaient assez souvent que manger des carottes rend aimables. A leur tour, des chercheurs américains affirment que cela nous rend plus optimiste.

On savait déjà que manger des carottes en particulier et les aliments riches en caroténoides en général, offrait une protection contre le cancer du sein. On savait aussi que les carottes nous donnent une jolie peau car elles offrent une forme de protection naturelle et nutritionnelle contre l’action des untra-violets Mais on n'a pas fini de mettre les carottes à toutes les sauces car, une nouvelle étude menée par des chercheurs de l’université de Harvard, aux Etats-Unis, montre que manger des carottes nous permet aussi de voir la vie en rose !

« C’est la première fois qu’une étude de ce type met en évidence un lien entre l’optimisme et notre taux de bêta-carotène » explique Julia Boehm, de l’Ecole de médecine d’Harvard, aux Etats-Unis. « L’une des théories est que les caroténoides, qui luttent contre le vieillissement des cellules et boostent notre immunité, ont également un effet déstressant ».

Pour aboutir à cette conclusion, les chercheurs ont fait des analyses de sang pour découvrir le taux de 9 antioxydants différents (dont le bêta-carotène et la vitamine E) chez un millier de personnes âgées de 25 à 74 ans. Après avoir fourni un échantillon de sang, tous ces volontaires ont rempli un questionnaire sur leurs habitudes de vie et la façon dont ils appréhendent l’avenir. Les chercheurs ont alors découvert que les personnes qui avaient la plus forte concentration en caroténoides étaient également celles qui étaient les plus optimistes : elles avaient jusqu’à 13% de bêta-carotènes en plus dans leur sang que les personnes les plus pessimistes du groupe-test.

« Même si nous n’avons pas encore mis en évidence le processus biochimique qui permet d’arriver à ce bien-être, nous pensons que cette étude fera date » a affirmé le Pr Andrew Oswald, qui a dirigé cette étude.

En poussant plus avant leurs recherches, les scientifiques se sont penchés sur le contenu de l’assiette des participants à cette étude. Et ils ont découvert que les personnes les plus optimistes (donc celles ayant une plus forte concentration en caroténoides) mangeaient plus de 3 portions de légumes ou de fruits chaque jour. Alors que les plus pessimistes mangeaient moins de 2 portions de fruits et légumes quotidiennement. C’est alors que s’engage un cercle vertueux car, toujours selon cette étude, plus on mange de fruits et légumes, plus on est optimiste. Et plus on est optimiste, plus on prend soin de sa santé. « Nous savons que les antioxydants présents dans les fruits et légumes préviennent les maladies liées au vieillissement. Mais désormais nous allons pouvoir nous pencher sur leurs effets sur notre humeur » conclut le Pr Oswald.

topsante.com

0 commentaires Commenter

posté le 25-septembre-2015
Minceur: les poissons gras bons pour la ligne

Saumon, harengs, sardines… Grâce à leurs teneurs importantes en bons gras, ces poissons n’ont que des qualités. Au four,
en croquettes ou en brochettes, ils se cuisinent en un clin d’œil.

Gras… mais qui aident à mincir ! Les carrés de flétan

Ça peut paraître contradictoire, mais c’est vrai : en plus de leurs protéines au fort pouvoir rassasiant, et de l’iode qui booste le métabolisme, leurs oméga-3 ont une action bénéfique sur le poids. Ces acides gras sont facilement mobilisés par le corps et favorisent la lipolyse, c’est-à-dire la fonte des graisses. Si vous achetez des poissons surgelés, ne les stockez pas trop longtemps : ils perdent 50% de leurs oméga-3 au bout de six mois.

Recommandés pour le cœur : saumon

Manger du poisson au moins deux fois par semaine, dont une fois du poisson gras, aide à réduire les risques de maladies cardiovasculaires. Selon une récente étude danoise, les femmes consommant rarement ou pas du tout de poisson ont un risque de problèmes cardiaques supérieur de 90% à celui des femmes mangeant du poisson chaque semaine.

Excellents pour la vue : maquereaux

Les poissons apportent des minéraux et des oligo-éléments comme le phosphore, le magnésium, l’iode, le calcium et le potassium. Mais les gras apportent, en plus, beaucoup de vitamines A et D, essentielles à la vue et au capital osseux. La bonne dose : deux portions par semaine.

Faciles à préparer: truite

Pour qu’ils conservent leurs bienfaits, préférez-les cuits en papillotes ou à la vapeur, ou servis crus. Pensez également aux poissons fumés ou marinés, coupés en morceaux dans des pâtes ou servis avec des pommes de terre : voici un repas prêt en un clin d’œil. Mais à cause de leur teneur en sel, évitez d’en manger trop souvent.

topsante.com

0 commentaires Commenter

posté le 23-septembre-2015
Du soja pour améliorer son bien-être

Il est essentiel de se faire plaisir en mangeant sans oublier d'allier le plaisir à la santé et au bien-être

Connu pour ses bienfaits sur la santé, le soja ou soya contient de la tyrosine, un acide aminé important pour l’organisme. La tyrosine, en arrivant dans le cerveau, est transformée en dopamine :) hormone du plaisir). Elle agit alors comme régulateur de l’humeur et permettrait de réduire le stress.

Le soja pourrait avoir un effet préventif sur les maladies cardiovasculaires car il contient des acides gras. Il serait également bénéfique sur le taux de "mauvais" cholestérol LDL. L’Agence française de Sécurité des Aliments recommande une consommation de soja, sous toutes ses formes, d’au moins 30 g par jour aux personnes souffrant d’excès de cholestérol.

passeportsante.net

0 commentaires Commenter

posté le 21-septembre-2015
Calcul du surpoids : l'IMC ne reflète pas les risques pour la santé

Des spécialistes se prononcent en faveur de concepts permettant une prise en charge plus personnalisée que l'indice de masse corporelle.

Créé au départ pour effectuer des statistiques, l'indice de masse corporelle (ou IMC, calculé en divisant le poids en kilo par le carré de la taille en mètre) a été adopté par l'OMS en 1997. Il permet d'évaluer la corpulence des adultes et d'indiquer, de façon globale, les éventuels risques de maladie métabolique (excès de cholestérol, diabète, hypertension artérielle...) ou de dénutrition liée à une trop grande maigreur. Mais à l'occasion des dernières Journées annuelles Benjamin Delessert (réunions consacrées à l'alimentation, à la nutrition et à la diététique), des médecins, des chercheurs et des associations d'obèses ont plaidé en faveur de nouveaux concepts qui permettraient une prise en charge plus personnalisée des patients.

"L'IMC est un indicateur du statut nutritionnel qui présente des limites : il ne prend pas en compte différents paramètres tels que l'ethnie (un Asiatique est, par exemple, obèse avec un IMC à 27, alors qu'un Européen est considéré comme étant seulement en surpoids avec le même indice), le sexe et la répartition de la masse grasse", a expliqué le docteur Emmanuel Disse, du service d'endocrinologie et des maladies de la nutrition au centre hospitalier Lyon-Sud. L'IMC est donc, selon lui et bon nombre de ses confrères, un marqueur insuffisant du risque associé à l'excès de masse grasse.

Un indice pas assez précis

La raison est simple : il ne donne pas d'informations sur la répartition de la graisse dans l'organisme. En d'autres termes, une personne peut avoir un IMC normal (entre 20 et 25), mais un amas graisseux mal situé, ce qui l'expose à un risque de diabète ou de maladie cardio-vasculaire. "Les graisses placées sur les hanches n'ont pas les mêmes conséquences que les graisses abdominales ou celles qui se trouvent autour de certains organes vitaux comme le coeur, le pancréas ou le foie", a rappelé la professeur Anne Dutour-Meyer, chef du service d'endocrinologie, nutrition et maladies métaboliques de l'hôpital Nord à Marseille. Appelées "graisses ectopiques", ces dernières sont les plus délétères. Cela explique pourquoi les personnes ayant un IMC normal mais beaucoup de ventre (forme androïde) ont en général plus de risques de maladie métabolique que les obèses avec des graisses situées sur les hanches (forme gynoïde ou "poire").

Les spécialistes estiment d'ailleurs que 20 à 30 % de la population obèse ne présente pas de complications métaboliques, alors que certains individus ont un IMC normal mais des complications métaboliques sévères : il s'agit des personnes que l'on pourrait qualifier de métaboliquement obèses. "Dans les deux cas, l'IMC est pris à défaut", a noté le docteur Disse. Lui et ses confrères prônent l'emploi de certains outils simples pour mieux évaluer le risque cardio-métabolique. Il s'agit notamment de mesures, comme celle du tour de taille ou le rapport taille/hanche, d'éléments cliniques et biologiques du syndrome métabolique, comme la glycémie à jeun et le taux de triglycérides. Bref, s'ils n'enterrent pas la mesure de l'IMC, ils ne veulent plus la laisser faire cavalier seul dans l'évaluation du surpoids et de ses risques.

lepoint.fr

0 commentaires Commenter

posté le 18-septembre-2015
"Petit déjeuner" : 1 enfant sur 3 le saute

En 2013, 29 % des enfants français sautent au moins un petit-déjeuner par semaine. Ils n'étaient que 11% il y a dix ans, s'inquiète une étude du Credoc. Le constat est le même chez les adultes.

Les petits Français boudent de plus en plus le petit déjeuner ! C'est le résultat de la dernière enquête du Centre de recherche pour l'étude et l'observation des conditions de vie (Crédoc) publiée il y a quelques jours. Elle met en évidence une très forte dégradation de la prise quotidienne d'un petit déjeuner ces dernières années dans l'Hexagone.

Un enfant sur trois saute au moins un petit- déjeuner par semaine
Et en 2013, cette baisse est plus accentuée chez les enfants de 3 à 14 ans. En effet, 29 % d’entre eux sautent au moins un petit-déjeuner sur sept jours, alors qu’ils n’étaient que 11 %, dix ans plus tôt. La proportion d’adultes concernés augmente également régulièrement depuis 2003. En 2013, les 15 ans et plus sont 21 % à sauter au moins une fois par semaine le premier repas de la journée contre 11 % en 2003.
« Cette baisse traduit un délitement de cette occasion de consommation. Sous l'effet des préférences personnelles et du rythme de chacun, le rituel d’une prise commune en famille s’estompe et le nombre de petits-déjeuners sautés croît », précise à ce titre le Crédoc.

Des portions plus importantes pour les autres repas de la journée
D'ailleurs, ces experts regrettent ce constat. Car le fait de sauter un repas, au même titre que la simplification des repas, conduisent à une baisse de la diversité alimentaire. Une constatation préoccupante vu que les apports d’un petit-déjeuner complet (produit céréalier, produit laitier, fruit et boissons) ont des conséquences bénéfiques sur l’équilibre alimentaire de la journée. De plus, on sait maintenant que les adolescents ne déjeunant pas le matin s'exposent à un risque plus élevé de syndrome métabolique des décennies après. A terme, c'est une menace de diabète ou de maladies cardiovasculaires qui plane.
Enfin, cette enquête révèle que pour compenser le besoin en énergie, les portions consommées aux repas suivants sont plus importantes, sans pour autant ajouter de nouvelles catégories d’aliments, « ce qui pourrait en partie expliquer pourquoi les Français n’atteignent pas les recommandations de consommation du Programme national nutrition santé (1). » En plus du petit-déjeuner, on sait par exemple que les Français boudent aussi de plus en plus les féculents.

(1) Lancé en 2001, le Programme national nutrition santé (PNNS) est un plan de santé publique visant à améliorer l’état de santé de la population en agissant sur l’un de ses déterminants majeurs : la nutrition. Pour le PNNS, la nutrition s’entend comme l’équilibre entre les apports liés à l’alimentation et les dépenses occasionnées par l’activité physique."

lu sur pourquoidocteur.fr

0 commentaires Commenter

Contactez nous du lundi au vendredi
de 9H00 à 18h00

0 820 202 811
Disponible sur Internet, la méthode MentalSlim est à la portée de tous ceux qui souhaitent en finir pour de bon avec leurs kilos en trop ! COMBIEN CA COUTE