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Blog de Jean-Michel Gurret

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Jean-Michel Gurret partage avec vous ses journées, ses exercices, ses conseils minceur, et ses recettes préférées.

posté le 4-septembre-2015
ASTUCE Prenez votre entrée bien avant de vous mettre à table

Une assiette de carottes râpées, un avocat, une tranche de jambon, un demi pamplemousse... Mangez votre entrée au moins 20 minutes avant de vous mettre vraiment à table pour le plat principal.

Pourquoi ?

Le sentiment de satiété met 20 minutes à apparaître. Si vous mangez tout votre repas en 15 minutes, vous mangerez nettement plus car vous ne percevez aucune sensation de satiété avant la fin du repas. C’est pour cela que ceux qui mangent trop vite mangent plus et prennent plus de poids.

Lu dans passeportsante.net

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posté le 2-septembre-2015
Une nouvelle piste contre l’intolérance au GLUTEN

Des chercheurs français de l’Inra et de l’Inserm ont mis en évidence le rôle clé d’une protéine humaine, l’élafine, contre la réaction inflammatoire caractéristique de la maladie cœliaque ou intolérance au gluten. Une découverte qui ouvre la voie à de nouvelles stratégies pour les traiter.

Pathologie auto-immune, la maladie cœliaque se manifeste chez les individus génétiquement prédisposés par une intolérance au gluten. Les personnes atteintes de la maladie cœliaque ne possèdent pas les enzymes nécessaires pour dégrader correctement le gluten lors de la digestion.

Les éléments issus de la mauvaise dégradation du gluten sont à l’origine d’une réaction inflammatoire qui peut conduire à terme jusqu’à l’élimination progressive des villosités intestinales permettant l’absorption des nutriments. Les individus touchés sont, entre autres, sujets à des douleurs abdominales chroniques (diarrhées, crampes…) et présentent une prédisposition à certains cancers (intestin grêle, lymphome).

La prévalence de la maladie est estimée entre 1/500 et 1/300 et aucun traitement curatif n’est actuellement disponible sur le marché ; la seule solution étant un régime sans gluten à vie.

Des chercheurs de l’Inra et de l’Inserm en collaboration avec des chercheurs de l’Université McMaster au Canada et de l’Ecole polytechnique fédérale de Zurich ont mis en évidence que chez les patients atteints de la maladie cœliaque, l’élafine, une protéine ayant des propriétés anti-inflammatoires, est beaucoup moins abondante que chez les personnes saines. Ils ont découvert que l’élafine était capable d’interagir avec la protéine responsable de la mauvaise dégradation du gluten (transglutaminase-2) et inhibait une étape clé de cette dégradation.

Dans le cadre de récentes recherches sur les maladies inflammatoires chroniques de l’intestin (MICI), telles que la maladie de Crohn ou la rectocolite hémorragique, les mêmes équipes de l’Inra et de l’Inserm ont mis au point une souche recombinante de la bactérie Lactococcus lactis exprimant et délivrant l’élafine. L’utilisation de cette souche permet la production ciblée et localisée de l’élafine, également présente en moindre quantité chez les personnes atteintes de MICI. Il s’agit d’une stratégie récente et innovante dont les premiers résultats pré-cliniques ont ouvert la voie à de nouvelles thérapies pour les MICI (pour lesquelles nous ne disposons toujours que de traitements suspensifs).

Dans la présente étude, les chercheurs ont administré cette bactérie chez des souris intolérantes au gluten. Ils ont observé que l’élafine délivrée par le probiotique diminuait fortement la réaction inflammatoire.

Cette stratégie, qui a fait l’objet d’un dépôt de brevet en mai 2013 par l’Inra, ouvre des perspectives inégalées dans le traitement de la maladie cœliaque et de l’intolérance au gluten en général. La prochaine étape consistera à préciser le mécanisme des effets positifs de l’élafine dans la maladie cœliaque et à identifier des bactéries qui produisent naturellement des protéines aux propriétés anti-inflammatoires similaires à celles de l’élafine.


Lu sur 24hsante

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posté le 31-aout-2015
Certaines graisses seraient une vraie « drogue dure » pour le cerveau

Toutes les graisses ne se valent pas : les triglycérides agissent sur le cerveau comme une « drogue dure » selon le CNRS, en activant les circuits de la récompense et l’accoutumance.

Comment expliquer que certains se lèvent la nuit pour savourer du Nutella ?

Il s'agirait presque d'une addiction selon une équipe de chercheurs français. La raison tient en deux éléments : triglycérides et circuits de la récompense. Une équipe du Centre national de la Recherche scientifique (CNRS) à l’université Paris-Diderot publie ce 15 avril dans Molecular Psychiatry une étude expliquant que les triglycérides ont un effet analogue aux drogues dures sur le cerveau.

Les mécanismes de récompense

Le repas est souvent décrit comme un moment de plaisir. Mais ce plaisir peut devenir nocif dans le cas de certains aliments. C’est le cas des triglycérides, des corps gras issus de l’alimentation : ils activent les circuits de la récompense dans le cerveau. Ils se trouvent principalement dans les produis riches en graisse saturée : viandes grasses, fromages ou sauces… mais aussi dans l’huile de palme qui compose une bonne partie de la célèbre pâte à tartiner. Les chercheurs du CNRS ont conclu à l’effet « addictif » de ces corps gras en étudiant des souris, qui privilégient naturellement les aliments riches en graisses aux options plus saines. Afin de simuler ce qu’un être humain qualifierait de « bon repas », les chercheurs ont mis les rongeurs sous perfusion de triglycérides dans le cerveau. Si le corps utilise les sucres et les graisses pour produire de l’énergie, le cerveau ne consomme que du glucose. Il ne devrait donc pas être sensible à ces corps gras. Pourtant, il sécrète un enzyme qui décompose les triglycérides. C'est là, au coeur du circuit de la récompense, que les chercheurs ont donc posé la perfusion.

Un effet d’accoutumance

La sensibilité du cerveau aux triglycérides est indéniable : les souris « sous perfusion » étaient moins motivées à actionner un levier qui leur permettait d’obtenir une friandise. Ces spécimens étaient aussi deux fois moins actifs et équilibraient leur consommation d’aliments gras et d’aliments simples. Dans le but de vérifier que les lipides étaient bien responsables de cela, les chercheurs ont éliminé l’enzyme spécifique à ceux-ci, de manière à ce que le cerveau ne les reconnaisse plus. Dans cette situation, les souris se sont montrées plus motivées à obtenir une récompense et à consommer plus de nourriture que la moyenne. Ce résultat vient confirmer une étude précédente, qui a établi qu’une diminution de l’enzyme dans l’hippocampe induit une obésité.

L’association entre triglycérides et obésité semble paradoxale : une personne obèse possède plus de triglycérides dans le sang qu’une personne de poids normal. C’est là qu’intervient la notion de « drogue dure » : les souris exposées longtemps et fortement aux triglycérides restent peu actives… mais conservent leur attrait pour les friandises. Le cerveau s’adapte donc pour obtenir sa récompense, exactement comme l’effet d’accoutumance connu des consommateurs de drogue. Et tout cela forme un cocktail parfait pour une prise de poids.

lu sur pourquoidocteur.fr

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posté le 28-aout-2015
Troubles alimentaires : repérer les signes chez les hommes

Les troubles des comportements alimentaires se conjuguent également au masculin. Victimes d'idées reçues, les adolescents qui en sont victimes sont peu informés et moins enclins à aller consulter. Une étude britannique met en lumière le phénomène.

Ils ont généralement entre 15 et 25 ans, sont obsédés par l'image de leur corps, comptent les calories avec acharnement ou font du sport à outrance. Certains sautent les repas et s'affament jusqu'au malaise. Beaucoup perdent du poids. Les troubles alimentaires comme la boulimie et l'anorexie ne sont pas le seul apanage des femmes. Et pourtant, beaucoup de jeunes hommes ne le savent même pas.

C'est ce qui ressort d'une récente étude britannique parue dans le journal BMJ Open. Ulla Raisanen, chercheur à l'Université d'Oxford et Kate Hunt, de l'Université de Glasgow, ont cherché à comprendre comment les hommes percevaient leurs symptômes et quels étaient les freins à l'accès aux soins.

À partir d'interviews réalisées sur 19 femmes et dix hommes âgés de seize à 25 ans, les scientifiques ont analysé la perception qu'ont eue ces jeunes hommes de leurs symptômes avant le diagnostic de la maladie. Leur conclusion est sans appel : "Les troubles du comportement alimentaire chez les hommes sont sous-diagnostiqués sous-traités et insuffisamment étudiés".

Tous, constatent-elles, ont mis du temps à se rendre compte de leur état et des signes avant-coureurs. Dans la perception populaire, les troubles alimentaires sont vus comme une maladie typiquement féminine. L'un des participants en témoigne pensant que ce type de trouble touche "les adolescentes émotionnellement fragiles". Un autre déclare : "C'est quelque chose que les filles attrapent".

Il leur a fallu des mois, voire des années, avant que le diagnostic ne soit établi, souvent dans l'urgence, lors d'une hospitalisation notamment. Peur de ne pas être pris au sérieux, honte de troubles jugés peu virils... Or, une détection précoce est indispensable pour mieux prendre en charge de tels troubles, suggère l'étude.

Les auteurs font aussi état de diagnostics tardifs ou erronés et des médecins peu empathiques.

Avoir le courage d'aller chercher de l'aide chez un professionnel ou demander de l'information est en effet peu aisé pour ces garçons qui ont, au fil de la maladie, eu tendance à se replier sur eux-mêmes. Les professionnels, dont le corps enseignant, ont un rôle particulièrement important à jouer en la matière souligne l'étude.

Une étude de 2011 parue dans l'International Journal of Eating Disorders révélait que 4 millions d'Américains sont atteints de troubles des comportements alimentaires, mais la prévalence chez les hommes reste une inconnue car les symptômes ne sont souvent ni reconnus, ni déclarés.

Prévenir, accompagner, soigner et bousculer les idées reçues, tel est le message que les auteurs souhaitent faire passer au travers de cette étude.

lu sur passeportsante.net

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posté le 26-aout-2015
Minceur : un brûleur de calories dans le collimateur

L'Anses publie une mise en garde contre les compléments alimentaires à base de synéphrine, un principe actif de l'orange amère, très utilisé dans les régimes.

Méfiez-vous du mélange écorce d'orange amère-caféine. Si vous vous contentez de tremper une orangette dans votre expresso, ce péché de gourmandise ne vous menace en rien. Si vous faites en revanche partie de ceux qui cèdent aux sirènes des innombrables compléments alimentaires promettant d'aider à faire fondre les kilos emmagasinés pendant l'hiver, attention ! Comme le Canada et des pays scandinaves, en France, l'Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation (Anses) publie une mise en garde contre ceux qui font entrer de la synéphrine dans leur composition, en association avec de la caféine.

Des cas d'infarctus

Cette substance, dont le nom scientifique ne vous dit rien, est un principe actif tiré de l'orange amère ( Citrus aurantium). Il vous arrive d'en ingurgiter, sans le savoir, au détour d'une confiture ou d'un jus de fruit. Même si vous êtes un grand consommateur, vous dépasserez rarement les 20 mg/jour et l'on n'a jamais rapporté d'incident à ce stade. En revanche, les fabricants de compléments alimentaires, qui se sont rués sur ce principe actif, depuis qu'on leur a interdit l'éphédrine (en 2003 en France) en glissent jusqu'à 72 mg dans leurs gélules miracles. Les deux ont ce même effet dit adrénergique : « brûleur » de calories, il stimule l'organisme comme de l'adrénaline. Problème, d'autant plus qu'il est systématiquement associé à de la caféine ou son cousin le guarana : votre corps n'est pas forcément armé pour gérer ce supplément de substances qui augmentent le rythme cardiaque. Surtout si vous avalez quelques cafés quotidiens et y ajoutez des séances de footing. Au mieux vous risquez des maux de tête. Au pire ? Via son dispositif de nutrivigilance, où les médecins sont invités à signaler les effets indésirables, l'Anses retient 18 cas documentés et vérifiés pour lesquels ces gélules mélangeant synéphrine et caféine ont provoqué convulsions, troubles cardiovasculaires, tachycardie et même infarctus. A éviter strictement donc, évidemment aux femmes enceintes, aux enfants et adolescents, mais aussi à tous ceux qui souffrent de maladies chroniques (hypertension souvent liée... au surpoids, cardiopathie, dépression) qui nécessitent un traitement médicamenteux, lui-même susceptible de produire des interactions fâcheuses.


lu dans leparisien.fr

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