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Blog de Jean-Michel Gurret

Suivez l'actualité de votre coach avec ce blog !
Jean-Michel Gurret partage avec vous ses journées, ses exercices, ses conseils minceur, et ses recettes préférées.

posté le 2-janvier-2016
L’exercice physique contrecarre les méfaits des repas de fêtes !


Les sportifs n’ont pas à craindre les excès alimentaires en cette période de fêtes. Une étude britannique publiée dans The Journal of Physiology montre que l’on peut compenser les effets nocifs d’un repas trop copieux en pratiquant 45 minutes d'exercice intense.

Pour le démontrer, une équipe de l'université de Bath a recruté 26 hommes âgés en moyenne de 25 ans, en bonne santé et sportifs. Treize d'entre eux ont été contraints de s'abstenir de toute activité physique pendant une semaine, alors que l'autre moitié a dû courir 45 minutes par jour à une vive allure (« cinq minutes d'échauffement à 60 % de consommation maximale d'oxygène (VO2 max) puis 45 minutes à 70 % de VO2 max », précise l’étude). Tous les participants se sont suralimentés au cours de cette semaine de suivi. Le groupe sédentaire a vu son régime alimentaire habituel s’accroître de 50 % en calories, alors que le groupe des sportifs a augmenté sa ration calorique journalière de 75 %, l’objectif étant que les calories brûlées par l’exercice physique ne faussent pas les résultats. Enfin, durant sept jours, les participants ont dû subir des prises de sang répétées et des biopsies de graisse abdominale.

Premier constat : alors que les deux groupes ont eu le même surplus énergétique, leurs prises de poids ont varié : les inactifs ont grossi de 2,7 kg en moyenne en une semaine, contre 1,1 kg pour le groupe des sportifs. Deuxième observation : la pratique du jogging a permis de contrecarrer les effets néfastes d’une alimentation trop riche sur le métabolisme cellulaire. Ainsi les sportifs n'ont pas connu de « perturbation de leur insuline et des marqueurs de gènes de l'obésité », alors que la suralimentation a eu « des effets sur le taux de glycémie » des personnes restées inactives. « C'est important car lorsqu'il y a beaucoup d'insuline dans le sang circulant cela peut abîmer les vaisseaux sanguins, augmenter la pression artérielle et le risque de maladies cardiovasculaires », souligne le Dr Dylan Thompson, principal auteur de l’étude. Enfin, les scientifiques ont observé chez les sédentaires que « les cellules graisseuses exprimaient de manière exagérée des gènes liés à des changements métaboliques malsains ».

« Le point crucial de notre expérience, c'est que l'exercice physique a des effets bénéfiques évidents, même si les volontaires ont tous pris du poids parce qu'ils mangeaient bien plus que ce dont ils avaient besoin », conclut le chercheur. « Cette nouvelle étude montre que l’image est plus complexe qu’une équation où le concept “énergie” serait seul. L’exercice physique a des effets positifs même quand vous stockez activement de l’énergie et que vous prenez du poids », renchérit le Dr James Betts, l’un de ses collègues.

Journal International de Médecine

 

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posté le 30-decembre-2015
Réveillon : comment éviter la gueule de bois

 

Cette année, pas question de souffrir de lendemains de réveillon difficiles ! Les conseils de TopSanté pour vous aider à éviter -ou tout au moins atténuer- la fameuse gueule de bois du 1er janvier !

Gueule de bois : c'est quoi au juste ?
Mal de tête, bouche sèche et pâteuse, nausées, envie de vomir sont les conséquences désagréables d'un excès d'alcool. Mais de quelle action résultent-elles ? La raison principale s'appelle l'acétaldéhyde. Cette substance, trente fois plus toxique que l'alcool, provient de la transformation de l'alcool dans notre métabolisme. Au cours d'un processus complexe, l'alcool devient en fait acétaldéhyde, puis acétate pour terminer son élimination en gaz carbonique plus eau.

L'autre explication de la gueule de bois provient du méthanol, présent dans l'alcool. Cet élément permet de classer les alcools en fonction de leur capacité à donner plus ou moins la "gueule de bois". Le brandy, le vin rouge, le rhum, le vin blanc, le gin et la vodka peuvent ainsi être classés par ordre décroissant de teneur en méthanol. Une cuite à la vodka devrait donc être moins douloureuse qu'une au brandy. Rappelons pour mémoire que le méthanol peut être utilisé comme carburant par certaines voitures de course ! Imaginez alors la quantité de travail que doivent fournir votre foie et vos reins pour éliminer ces substances.

Le foie, à travers plusieurs enzymes, possède un rôle majeur dans la détoxication de l'alcool (action de supprimer les effets nocifs). De leurs côtés, les reins se chargeront d'éliminer ce toxique en utilisant principalement l'eau. Voilà pourquoi vous serez sujet à une augmentation de votre diurèse (volume des urines) et à une assez forte déshydratation d'où soif et maux de tête. Les nausées et vomissements proviennent en revanche de la gastrite alcoolique, qui est un effet toxique direct de l'alcool sur l'estomac.

Enfin sachez que votre propension à supporter l'alcool dépend de votre consommation habituelle, de votre poids et de... votre sexe puisque les femmes sont 2 à 3 fois plus sensibles que les hommes aux effets de l'alcool.

Gueule de bois : comment éviter les nausées
Le premier principe de base est la mesure. Vous pouvez consommer de l'alcool et même faire des mélanges mais comme il est coutume de dire, avec modération. Toutefois, si ce principe de base vous paraît difficile à appliquer, sachez qu'il existe quelques méthodes préventives.

Pensez à vous hydrater, buvez au moins 1 litre d'eau. Elle sera votre principale alliée de la soirée ! Mieux, si vous pouvez agrémenter votre consommation avec alcool de jus de fruit, vous optimiserez vos chances de réussite. En effet, les fruits contiennent du fructose, sucre naturel qui facilite la transformation et donc l'élimination de l'alcool.

Dans le même ordre d'idée, consommez du miel ! Ce dernier appartient aux aliments qui possèdent le plus de fructose. Le simple fait de manger des tartines de miel soulagera votre estomac malmené et vous redonnera de l'énergie.

Sur le plan gastrique, quelques extraits de plantes, tel que l'artichaut ou le boldo (feuille provenant d'un arbuste du Chili) sauront vous éviter de pénibles aigreurs d'estomac.

Enfin, avant de vous coucher, n'hésitez pas à prendre du paracétamol avant de vous coucher. Si vous vous contentez de prendre votre cachet au réveil, il sera moins efficace.

En ce qui concerne les remèdes historiques, style cuillère à soupe d'huile d'olive, grand verre de citron pressé, de lait ou encore d'eau bouillie avec ail, laurier, sauge, jaune d'oeuf et même pain, aucun effet positif n'a encore été prouvé scientifiquement.

Gueule de bois : les remèdes anti-migraine
Avec toutes ces précautions, vous ne devriez pas être sujette à la gueule de bois. Néanmoins, vous ne serez jamais complètement à l'abri ! Il est donc temps d'évoquer les remèdes... anti-gueule de bois.

Buvez de l'eau. Une bonne hydratation est incontournable. Contre le mal de tête, café, paracétamol et bouillotte d'eau chaude seront vos aussi vos alliés. En effet, l'alcool provoque une vasodilatation (ou gonflement) des vaisseaux sanguins d'où les maux de tête.

Attention à l'aspirine effervescente ! Au contraire du paracétamol, l'aspirine peut aggraver votre gastrite (inflammation de l'estomac) et même accentuer un saignement oeso-gastrique. Rien de bon donc.

Contre l'indigestion, faites confiance au traditionnel et très efficace citrate de bétaïne. Il optimise la motricité gastro-intestinale et les sécrétions digestives, souvent absentes après ces riches repas. Dernier conseil, organisez-vous un lendemain avec un repas léger comme un bouillon et un bon sommeil réparateur.
TopSanté.com

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posté le 28-decembre-2015
Repas de fête : 7 conseils pour un réveillon gourmand et raisonnable

Les repas de fêtes sont des moments de convivialité et de détente par excellence. Sauf contre-indication médicale, il n’est pas question de gâcher son plaisir par des restrictions diététiques inopportunes. En réalité, tout est une question de gestion et de bon sens. Avec une devise : « pas d’excès, ni dans un sens, ni dans l’autre. »

Un réveillon sans excès est donc bel et bien possible. L’Association française des Diététiciens-Nutritionnistes (AFDN) rappelle d’ailleurs qu’il est tout à fait envisageable de « réussir son repas de fête, sans agresser son estomac, ni son organisme ». Pour cela, notez bien ces quelques conseils de bon sens :

Ne vous jetez pas sur l’apéritif afin de préserver votre appétit. Misez sur les bâtonnets de crudités, les tomates-cerises etc… Si vous êtes invité, avalez un fruit ou un laitage avant de partir;

Equilibrez votre repas. Pour cela, évitez de vous resservir systématiquement. De cette façon, vous ne refuserez aucun plat ;

Misez sur les fruits de mer ou les crustacés. Sans trop de pain et de mayonnaise bien sûr ;

Déclinez le fromage si vous veillez à votre poids et si vous souhaitez profiter de la suite ;

Prenez du dessert bien sûr. Là encore, vous n’êtes pas obligé de prendre une énorme portion ;

Evitez les mélanges alcoolisés, vin + liqueur par exemple. « Le lendemain, votre estomac ne s’en portera que mieux… », glisse l’AFDN ;

Prévoyez ou demandez deux verres. L’un pour le vin si vous en buvez. L’autre pour l’eau. Et videz plus volontiers le second que le premier…

Lu sur destinationsante.com

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posté le 26-decembre-2015
Digestion : 4 tisanes pour vous aider à passer les fêtes

Plus que jamais, pendant les fêtes, profitez des bienfaits des plantes en composant des tisanes qui vous permettront de bien digérer. Profitez des agapes sans craindre les lendemains de fête.

Préparez-vous une tisane foie sensible
Vous perdez l'appétit, vous vous sentez nauséeuse : et si vous aidiez votre foie à retrouver l'équilibre après toutes ces agapes ? Préparez une tisane aubier de tilleul du Rousssillon ou une tisane au romarin.

Votre tisane foie sensible : placez 3 ou bâtons d'aubier de tilleul du Roussillon et 1 litre d'eau dans une casserole. portez à ébullition puis laissez à feu doux pendant 20 minutes. Retirez les bâtons, placez en thermos. Ajoutez un jus de citron. A boire toute la journée pendant une cure de 15 à 20 jours.

Brûlures d'estomac : une tisane de guimauve et réglisse
Pour réduire l'inflammation des brûlures d'estomac dues à des gastrites, des excès alimentaires ou des ulcères, buvez une tasse trois fois par jour entre les repas de cette tisane guimauve, réglisse.

Votre tisane anti brûlures d'estomac: versez 2 cuillères à café du mélange (1/2 de guimauve, 1/2 de réglisse) dans 25 cl d'eau froide. Portez à ébullition, laissez bouillir 5 minutes et laissez infuser 10 minutes. Ajouter 1 cuillère à café de miel et 2 gouttes d'huile essentielle de basilic.

Bonne digestion : une tisane de menthe et mélisse
Si votre ventre fait des siennes et que vous avez des problèmes de digestion, préparez vous une tisane menthe et mélisse.

Votre tisane spécial digestion: versez 2cuillères à café de 1/2 de menthe, et 1/2 de mélisse dans une tasse d'eau bouillante. Laissez infuser 10 minutes. Ajouter 1/4 de cuillère à café de miel, et une goutte d'huile essentielle de citron. Buvez une tasse après chaque repas un peu lourd.

Aérophagie : une tisane d'anis vert
Comme l'explique Danièle Festy, pharmacienne, les personnes souffrant d'aérophagie sont souvent des personnes nerveuses qui font souvent les choses trop vite. Les poches d'air bloquées dans l'estomac peuvent être aussi dues à une consommation excessive de sodas, des boissons gazeuses ou de chewing-gum. Pour combattre l'aérophagie, Danièle Festy recommande de boire une tasse après chaque repas d'une tisane d'anis vert.

Votre tisane anti-aérophagie: versez une cuillère à café de semences d'anis vert dans 25 cl d'eau froide. Portez à ébullition, laissez bouillir 3 minutes et laissez infuser 5 minutes.


topsante.com

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posté le 23-decembre-2015
Fêtes de Noël : attention aux allergies

Escargots, coquillages, alcool, sapin et décorations font partie des aliments et objets traditionnels dont il est difficile de se passer le soir de Noël. Pourtant, ils ne sont pas sans risques, explique l'association de recherche en allergologie.

Qu'il s'agisse du repas de Noël ou des décorations qui ornent votre salon, la période des fêtes est propice aux allergies. En effet, "les différents artifices entourant les fêtes de Noël ne sont pas sans risques", rappelle l'association de recherche clinique en allergologie et en asthmologie (ARCAA). Afin d'aider les personnes qui s'interrogent à y voir plus clair et passer de joyeuses fêtes en toute tranquillité, l'ARCAA a réuni des informations concernant les produits à risque. 

Les allergies causées par les aliments des repas de fête 

Coquillages et crustacés : urticaire, démangeaisons, gonflements (œdème), asthme, risque de malaise, diarrhées, vomissements, eczéma. 

Champignons (cèpes, girolles, etc.) : eczéma, maux de ventre. 

Épices (anis, coriandre, fenouil, cumin, etc.) : urticaire, rhinite, asthme. A cuire pour limiter les réactions allergènes. Escargots : crises d'asthme surtout chez les allergiques aux acariens (allergie croisée). L'allergie aux escargots ne disparaît pas à la cuisson. 

Soja (produits industriels) : urticaire, gonflements, asthme, malaise, eczéma. 

Gluten (pain, seigle, céréales, farines, biscuits, gâteaux, assaisonnements, préparations industrielles, chapelures, etc.) : problèmes digestifs, urticaire, œdème. 

Lait (bûche glacée, fromages, gâteaux, etc.) : urticaire, œdème, malaise. 

Chocolats (gâteaux, mignardises, etc.) : urticaire, œdème, risque de crises d'asthmes dues aux miettes de fruits à coques utilisées en décoration ou dans les chocolats. 

Fruits à coques (noix, noix de cajou, etc.) : urticaire, démangeaisons, œdème, rhino-conjonctivite aiguë et asthme. Sulfites (vin, alcool, champagne, etc.) : éternuements, démangeaisons, urticaire, asthme. 

Les allergies causées par les décorations de fête 

Moisissures (sapin) : toux, rhino-conjonctivite, asthme. 

Sève des plantes (houx, gui, sapin, etc.) : réactions allergiques. Éviter le contact avec les yeux et la bouche. 

Aérosols (neige artificielle, bombe décorative, etc.) : irritations de la peau, réactions cutanées et respiratoires. Ne pas pulvériser trop près de la peau. 

Bougies parfumées : irritations oculaires et respiratoires, maux de tête, toux et éternuements.
topsante.com

 

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