En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies pour vous proposer des services et offres adaptés à vos centres d'intérêt. En savoir plus et gérer ces paramètres.

ans

cm

kilos

kilos



Derniers articles
voir toutes les archives
tezzz

Blog de Jean-Michel Gurret

Suivez l'actualité de votre coach avec ce blog !
Jean-Michel Gurret partage avec vous ses journées, ses exercices, ses conseils minceur, et ses recettes préférées.

posté le 7-decembre-2015
Les mangeurs de noix vivent plus longtemps

Les consommateurs réguliers de fruits à coques développeraient moins de maladies, selon une étude américaine.

Peu sucrés, riches en fibres, minéraux et bons acides gras, les noix et autres fruits à coques sont considérés comme des aliments intéressants pour notre santé. Une bonne image que confirme la publication fin novembre dans le New England Jounal of Medecine des résultats de la plus grande étude jamais consacrée à ces fruits secs.

Grâce aux données de deux études portant sur des professionnels de santé américains suivis depuis les années 80, des chercheurs de l'université d'Harvard ont pu analyser l'effet de la consommation de fruits à coques chez près de 118.962 hommes et femmes durant près de 30 ans.

L'équipe du Dr Ying Bao a ainsi montré qu'une consommation régulière et fréquente de fruits secs oléagineux -noisettes, amandes, pistaches, cacahuètes, pignons, ou les différentes noix (pécan, Brésil, macadamia...)- était associée à une réduction de la mortalité allant de 7% pour une portion (28g) hebdomadaire à 20% pour une portion quotidienne. L'incidence des décès liés à des causes particulières (cancers, maladies cardiaques et respiratoires) était également réduite.

Privilégier les fruits secs frais

«Cette étude ne permet pas d'affirmer qu'il existe un lien de causalité entre la consommation de fruits à coques et la baisse de la mortalité, analyse le Dr Olivier Coudron, médecin et directeur de l'institut de nutrition SIIN. Mais comme elle prend en compte d'autres facteurs aux effets positifs sur la longévité de vie, comme la consommation de végétaux ou le fait d'être non fumeur, elle apporte tout de même de forts arguments en faveur de l'intérêt des fruits secs oléagineux».

Les fruits secs ne sont donc pas des aliments miracles, mais, sources d'anti-oxydants et même d'oméga 3 pour la noix, leur consommation est recommandée par de nombreuses sociétés savantes, exception faite des cacahuètes, en raison des nombreuses allergies alimentaires qu'elle provoque.

«Attention, seuls les fruits secs frais et non transformés présentent un intérêt pour la santé, les préparations salées grillées ou caramélisés n'ayant aucun intérêt nutritionnel!», rappelle le Dr Coudron.

Si la consommation de fruits à coques explose en Asie ces dernières années, en France, la demande reste modeste. Leur culture dans l'Hexagone, majoritairement tournée vers la noix, ne représente qu'1% de notre production fruitière totale, et ne couvre qu'environ un quart de notre consommation en fruits secs oléagineux, toutes espèces confondus. Augmenter notre consommation semble pourtant loin d'être une idée à la noix.


lefigaro.fr

0 commentaires Commenter

posté le 4-decembre-2015
Le blues de l’hiver

"Avec l’arrivée de l’hiver, il peut arriver que votre moral tombe comme la feuille d'un arbre. Les journées sont de plus en plus courtes, la lumière se fait rare et le froid n'arrange pas les choses. Pas de panique, il est normal de perdre un peu de tonus en cette saison. Officiellement, on l’appelle " trouble affectif saisonnier".Plus couramment, on parle du "blues de l’hiver" ou de la déprime hivernale. 

Conséquences: manque d’énergie, grosse fatigue, moral en berne, problèmes de concentration et perte de motivation.

Pour prévenir de ce petit coup de blues, voici 2 astuces pour ensoleiller votre quotidien pendant l’automne et l’hiver.

Prenez le soleil !

Même par temps de froid, essayez de mettre le nez dehors pendant les heures les plus ensoleillées de la journée. La lumière du soleil met de bonne humeur et rend les êtres plus expansifs car elle bloque la synthèse d'une hormone, la mélatonine. 

Mettez aussi du soleil dans votre assiette !

Une mauvaise alimentation ferait grimper les risques de dépression alors que la consommation de fruits, de légumes et de poisson aurait un effet protecteur. Ajouter des oméga-3 à son alimentation serait également une stratégie efficace...."


huffingtonpost.fr

0 commentaires Commenter

posté le 2-decembre-2015
Notre cerveau est-il programmé pour détester les légumes verts ?

Votre enfant déteste les légumes verts? C'est peut-être parce que son cerveau est programmé pour cela. Les plus jeunes mettraient en place une stratégie pour éviter les plantes potentiellement empoisonnées, par une sorte d'ancestral instinct de survie… Ce qui expliquerait leur dégoût assez fréquent à manger des haricots, courgettes et autres épinards. Annie Wertz et Karen Wynn, psychologues à l’université de Yale, viennent de publier une étude à ce sujet dans la revue Cognition.

Au Centre d’études cognitives infantiles de Yale, les deux scientifiques ont testé les réactions de 47 enfants âgés de 8 mois à 18 mois, rapporte le Daily Mail. Ces petits cobayes ont eu le choix entre plusieurs types d’objets dont ils pouvaient se saisir pour jouer: des vraies plantes comme du thym, des plantes artificielles réalistes, des objets en plastique ou en métal...

Ils ont montré une «réticence frappante» à toucher les plantes. Les deux psychologues pensent donc que ce comportement est programmé chez les enfants, à leur naissance:

«Cette stratégie comportementale permettrait aux nourrissons de se protéger contre les dangers des plantes, en diminuant la probabilité d’ingérer des toxines végétales (…) ou d’encourir des blessures causées par les défenses naturelles des plantes (poils fins, épines, huiles nocives…)»

Elles précisent:

«Nous ne suggérons pas que les enfants sont effrayés par les plantes. Nous pensons que lorsqu’ils identifient une plante, ils déploient une stratégie comportementale pour limiter l’exploration par le toucher.»

Alors, «ces résultats peuvent expliquer les frustrations de nombreux parents confrontés au rejet des fruits et des légumes par leurs jeunes enfants».

Mais, heureusement, cette réticence peut être modifiée, soulignent les psychologues:

«Cet évitement initial est une stratégie par défaut, qui peut être contournée par l’information sociale expliquant que la plante n’est pas dangereuse à manger ou à toucher.»

En gros, il faut faire goûter et montrer l’exemple...
slate.fr

0 commentaires Commenter

posté le 30-novembre-2015
Un tiers des enfants mangent devant un écran

Une étude publiée récemment s’alarme du nombre d’enfants qui passent leurs repas les yeux rivés devant un écran. Selon cette étude, menée par le Syndicat français des aliments de l’enfance (SFAE), cette mauvaise habitude inciterait les enfants à manger plus qu’ils ne le devraient ou qu’ils ne le pourraient s’ils étaient assis à une table sans distractions.

Dès la naissance, les enfants devant la télévision
Les enfants seraient donc près d’un tiers à s’alimenter tout en regardant un écran, selon ce que révèle l’étude qui a été menée auprès de 1 188 mères représentatives ayant un enfant âgé de 15 jours à 3 ans.

« 15% des bébés de quinze jours à trois mois mangent déjà devant une distraction », indique l’étude qui conclue à l’augmentation de ce phénomène avec l’âge.

Une habitude pas si anodine pour Alain Bocquet, pédiatre qui estime qu’outre « l’altération de la convivialité des repas, si importante à cet âge, la télévision à table a des répercussions du point de vue alimentaire ».

En effet, manger devant la télévision ferait perdre la conscience de la quantité d’aliments consommés.

Une diversification alimentaire tardive
Cette étude note également qu’avec le temps, la diversification alimentaire des repas des enfants survient de plus en plus tard. Les premiers repas complets de l’enfant sont pris en moyenne vers 10 mois alors qu’en 2005, ceux-ci étaient en moyenne absorbés à 8 mois.

Cette différence de deux mois est majeure, indique encore Alain Bocquet. « On sait que les enfants qui ne commencent l’alimentation grossièrement mixée qu’à partir de 10 mois sont plus difficiles et refusent d’élargir leur palette alimentaire ».

Une diversification alimentaire qui semble être également altérée par le rôle des mamans, déplore encore le scientifique. En effet, « près de la moitié » d’entre elles « n’insistent pas quand l’enfant refuse un aliment, alors qu’il est actuellement bien démontré qu’il faut persévérer en proposant de nouvelles fois, encore et encore, l’aliment refusé, dans le calme et dans une ambiance conviviale ».


Lu sur 20 Minutes.fr

0 commentaires Commenter

posté le 27-novembre-2015
L'obésité pourrait provoquer une puberté précoce chez les filles

L'obésité est le facteur le plus probant d'une puberté précoce chez les filles, qui affecte les Blanches plus tôt qu'auparavant, révèle une étude publiée aux Etats-Unis.

"Cette recherche suggère que les pédiatres devraient peut-être redéfinir les âges de puberté précoce et tardive chez les filles", estime le docteur Frank Biro, de la division de médecine de l'adolescence à l'hôpital des enfants de Cincinnati (Ohio), principal auteur de cette recherche.

"Une maturité avancée chez les filles a des implications cliniques importantes tant au niveau psycho-social que biologique", explique-t-il.

Les risques d'une maturité précoce

Des filles connaissant une maturité précoce courent le risque d'être confrontées à de multiples problèmes comme un manque de confiance en soi, la dépression, l'échec scolaire et des comportements asociaux, relève le pédiatre.

Une puberté précoce accroît également les risques d'obésité, d'hypertension et de plusieurs cancers dont ceux du sein et de l'ovaire.

Les auteurs ont examiné 1.239 filles dans des cliniques dans la région de San Francisco, à Cincinnati et à New York pour déterminer le début de leur puberté. Ils ont mesuré le développement de leur poitrine et l'impact de ce phénomène sur l'indice de masse corporelle et ce, selon l'origine ethnique.

Les participantes étaient âgées de 6 à 8 ans au début de l'étude et ont été suivies régulièrement de 2004 à 2011. Les chercheurs ont utilisé les critères établis du développement de la puberté, dont les cinq stades connus de la croissance des seins.

Masse corporel élevée = puberté avancée?

Ils ont constaté que les âges respectifs de l'apparition de la puberté indiquée par le développement de la poitrine variaient selon l'origine ethnique, l'indice de masse corporel et le lieu géographique.

Le développement des seins commence chez les Blanches à l'âge médian de 9,7 ans, plus tôt qu'observé précédemment.

Les petites filles noires continuent à être plus précoces que les Blanches avec le début de la croissance de la poitrine à 8,8 ans.

Chez les Hispaniques, cet âge est de 9,3 ans et de 9,7 ans chez les petites filles asiatiques.

Les chercheurs ont conclu qu'un indice de masse corporel plus élevé (surpoids et obésité) était une indication plus forte d'une puberté avancée que l'origine ethnique.

Bien que les auteurs de cette étude continuent leur recherche pour confirmer les facteurs environnementaux et physiologiques derrière ce phénomène, ils ont conclu que l'apparition précoce de la puberté chez les adolescentes blanches est probablement provoquée par un poids excessif.


huffingtonpost.fr

0 commentaires Commenter

Contactez nous du lundi au vendredi
de 9H00 à 18h00

0 820 202 811
Disponible sur Internet, la méthode MentalSlim est à la portée de tous ceux qui souhaitent en finir pour de bon avec leurs kilos en trop ! COMBIEN CA COUTE