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Jean-Michel Gurret partage avec vous ses journées, ses exercices, ses conseils minceur, et ses recettes préférées.
posté le 12-juillet-2007 Jeudi 12/07, ma journée est parisienne. Je prends le TGV à Valence à 6h56 direction Gare de Lyon. Arrivée à Paris à 9h05. Puis RER jusqu'à La Défense où je fais une halte devant le pouce géant de César. Rendez-vous dans une entreprise internationale pour un débriefing sur un cycle de réunions animées par l'équipe commerciale que j'ai suvie. La vidéo est implacable et nous traquons l'ensemble des points à améliorer. Retour le soir en TGV avec une arrivée à Valence avant 20h00. Une journée dense et passionante, où chacun peut mesurer l'atout du coaching en matière de communication et d'aide à l'expression orale.
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posté le 12-juillet-2007 Une grosse partie de mon travail en cabinet, en thérapie et en coaching, consiste à traquer les convictions qui limitent les gens, afin d'accompagner la personne à passer d'un état présent à un état désiré. Le premier pas, le plus important peut-être, c'est d'identifier l'état désiré. Il faut avoir une représentation la plus claire possible du résultat recherché. Par exemple lundi, je travaillais avec une fumeuse. Je cherche donc à l'amener à réfléchir à ce qu'elle fera et comment elle vivra sa vie de non fumeuse, chez elle durant ses loisirs, avec ses amis, ou bien au travail. Lorsque j'aide quelqu'un à se donner un but, le processus de changement s'amorce déjà, car le cerveau fonctionne comme un ordinateur. Une fois l'objectif clarifié, le cerveau va organiser un comportement inconscient pour l'atteindre. Il va recevoir des informations en permance, qui vont lui permettre de redresser la barre au fil de l'eau.
Dans son livre Croyances et santé, Robert Dilts cite le cas d'une thèse américaine réalisée en 1953 qui montrait que seulement 3% des étudiats interrogés s'était fixés des objectifs pour la vie. Vingt ans plus tard, en 1973, un étudiant repris l'étude et vérifia les chiffres auprès des survivants de la promotion 1953. Les 3% d'étudiants qui s'étaient fixés un but par écrit avaient un meilleur niveau de vie que tout le reste de la classe réunie. Cet exemple illustre la façon dont notre cerveau organise notre comportement pour nous aider à atteindre notre but. C'est cette même méthode que nous utilisons dès le début de notre programme. |
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posté le 6-juillet-2007 "Pourquoi fais-tu cela ? Quel plaisir d'aller voir des gens mourir ? Comment peux-tu faire ça ? Moi, je ne pourrais jamais...." Ces questions et remarques, nous, bénévoles d'accompagnement, nous les avons tous entendues... Un soir, au cours d'un dîner entre amis, l'un deux me lance, « mais qu'as-tu donc à te faire pardonner pour faire ça ? » Je suis resté sans voix.... Puis sa question m'a fait réfléchir. Faut-il obligatoirement avoir quelque chose à se faire pardonner pour aider les autres ? N'est-il pas possible de donner sans attendre en retour, de manière totalement désintéressée, inconditionnelle ? La mort dérange tellement que c'est presque devenu obscène d'en parler ouvertement. Or, apprendre la mort, c'est apprendre la vie. Être au clair avec la mort, avec sa mort, c'est faire un grand pas dans sa vie. C'est être capable d'accepter sa propre finitude. C'est aussi un extraordinaire moyen de jouir de sa vie, de s'en approprier chaque parcelle et de déguster l'instant présent avec délectation et bonheur. Quelle que soit sa croyance vis-à-vis de la mort, la penser régulièrement revient à donner du goût à la vie. Ainsi chaque nuance devient plus lumineuse, chaque note plus cristalline et chaque sensation plus subtile, plus douce. De fait, la vie gagne en saveur, se pare de plus de fragrances, brille de plus de couleurs. Contrairement à ce que l'on s'imagine, une unité de soins palliatifs est pleine de vie. L'esprit palliatif s'inscrit pleinement dans la vie. Il considère la mort comme une étape normale et naturelle de la vie, qu'il convient de respecter sans chercher ni à l'accélérer ni à la repousser. Après un départ, l'aide apportée aux familles et aux proches continue, car le lien avec les vivants ne s'arrête jamais. Ce type de bénévolat, ce don de soi inconditionnel est l'un des plus riches et intenses que je connaisse. J'espère que progressivement un plus grand nombre de personnes comprendront le sens de cette démarche et saisiront l'immensité de ce que nous recevons en retour à chaque accompagnement. J'espère aussi que de nouvelles questions surgiront, différentes, plus intimes, plus humaines et que de nouvelle vocations de bénévoles naîtrons, notamment au niveau des jeunes. Osez affronter la mort, la sienne et celle des autres reste à mes yeux une expérience unique, qui permet de prendre totalement la mesure de la préciosité de la vie. |
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posté le 3-juillet-2007 Mardi est une journée consacrée à l'enregistrement de pistes audios. C'ets vraiment très sympa l'enregistrement car c'est l'aboutissement d'un long travail préparatoire : des heures à écrire les textes et à les améliorer au fil du temps avec les patients afin que ceux-ci soient le plus efficaces possible. Puis, vient le jour de l'enregistrement qui demande de la concentration et de la décontraction. Et c'est dans la boîte. Il faudra encore faire la post production, les effets spéciaux, "caler" la musique, compresser les voix et enfin masteriser. Tout cela pour vous permettre d'avoir des enregistrements de bonne qualité, même une fois compressés en mp3. |
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posté le 2-juillet-2007 Hyland était le deuxième nom de Milton Erickson (le « H » de « MHE »). C'est un vocable qui « parle » donc aux thérapeutes Ericksonniens, une sorte de bannière de ralliement. Pour le grand public, Hyland peut se décomposer en « HY » qui est le début du mot « Hypnose » et « LAND » qui signifie « terre » en anglais. D'où notre accroche « Bienvenue sur les terres de l'hypnose ». Il s'agit donc avec ce seul vocable de faire passer des messages à plusieurs niveaux, ce qui est le propre de la communication Ericksonienne. Hyland est une association loi 1901 à but non lucratif. Ses statuts définissent ses objectifs : la promotion de l'hypnose thérapeutique, le développement de la formation et de la connaissance de ses membres, le partage de ressources matérielles et intellectuelles, la mise en place d'actions communes, l'organisation d'événements liés à la promotion de l'hypnose. En d'autres termes, nous nous regroupons afin de faire ensemble, ce que nous ne pourrions faire seuls. Nous pouvons même rêver d'arriver un jour à faire reconnaître cette profession par les caisses d'assurance-maladie, comme cela est déjà le cas dans certains pays comme la Suisse. Nous voulons maîtriser notre développement et accueillir au sein d'Hyland des hypnothérapeutes formés par des Instituts sérieux, reconnus au niveau international. Nos patients sont nos meilleurs ambassadeurs. Progressivement, nous mettons à leur disposition les moyens d'exprimer via Internet sur leur succès et leurs attentes. Nous sommes ouverts et décidés à fédérer une profession qui souffre de son manque d'unité et de représentativité. Plus d'info :www.hylandeurope.com. |
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