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Forum MentalSlim

Moral et motivation

jeanine52 (deluz, 25) Posté le 02-02-2011 à 11:21 | Signaler un abus

jeu:"l'Alphabet des qualités"


Sur l'idée de cécileneuville je lance un "challenge"

lister toutes les qualités existantes pour chacune des lettres de l'alphabet.

Allez les filles au boulot !!!!

Je commence par la lettre A

Appliquée


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Toutes les réponses à ce message :

mimaja (Q, 21) Posté le 16-09-2011 à 09:28 | Signaler un abus


Ven. 16/9 : O => ONIRISME
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Les vies oniriques sont rarement des vies rêvées. [José Artur] - Extrait des Pensées
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L'onirisme (ou délire onirique) est un trouble des fonctions intellectuelles. C'est une activité mentale semblable rêve mais se produisant à l'état de veille.

L'onirisme se caractérise par la persistance d'idées manifestement fausses : le sujet est en proie à des hallucinations sensitives, musculaires et parfois visuelles. Le délire onirique est vécu intensément par le sujet qui réagit aux images mentales qui lui apparaissent comme si elles étaient réelles : monologues, fuites, combats contre un adversaire imaginaire peuvent être observés, à moins que le sujet ne reste passif, les expressions de son visage marquant ses réactions émotives.

Précisons que le sujet continue de réagir à la réalité extérieure, mais la frontière entre celle-ci et son délire lui est peu perceptible.

L'onirisme s'apaise généralement en peu de temps et est le plus souvent consécutif à une intoxication à l'alcool ou aux stupéfiants, ou fait suite à un choc affectif ou à une infection. Certains des composants du délire onirique peuvent persister et se retrouver dans une autre phase délirante.


jeanine52 (25) Posté le 16-09-2011 à 07:12 | Signaler un abus


OEDIPE:

Héros thébain, fils de Laios, roi de Thèbes et de Jocaste. Un oracle avait prédit que si Laios avait un fils celui-ci tuerait son père et épouserait sa mère.

Un fils naquit; aussitôt Laios le fit exposer sur le Cithéron. Des pâtres le trouvèrent et comme il avait les pieds enflés par les cordes dont on les avait serrés, ils le nommèrent Oedipe (du grec odein, être enflé, et pous pied). Ils le portèrent à Polybe, roi de Corinthe, qui l'éleva comme son fils. Oedipe, devenu grand alla, pour éclaircir le mystère de sa naissance, consulter l'oracle de Delphes, qui lui conseilla de ne pas retourner dans son pays, sous peine de tuer son père et d'épouser sa mère. Pour fuir Corinthe, Oedipe prit le chemin de la Béotie A un croisement de routes, il rencontra un vieillard, se prit de querelle avec lui et le tua c'était Laios.
Près de Thèbes, Oedipe se trouva en face du Sphinx qui soumettait aux passants des énigmes et dévorait quiconque ne pouvait les résoudre. Oedipe devina les énigmes du monstre; il fut proclamé roi de Thèbes, et épousa la reine Jocaste.

jeanine52 (25) Posté le 16-09-2011 à 07:11 | Signaler un abus

OEDIPE : suite

Une peste survint; l'oracle ordonna d'expulser le meurtrier de Laios. Oedipe lança d'avance de terribles imprécations contre le meurtrier inconnu. Il découvrit peu à peu le terrible secret de sa naissance. De désespoir Jocaste se pendit, et Oedipe se creva les yeux.

D'après la tradition homérique, Oedipe resta roi de Thèbes et il mourut à la guerre.

D'après une autre version, il fut chassé par ses fils et par Créon; conduit par sa fille Antigone il se réfugia en Attique.
Suivant une autre légende il fut emprisonné à Thèbes par ses fils Etéocle et Polynice et les maudit: d'où la querelle des deux frères et leur mort. Créon devint roi et chassa Oedipe, qui demanda l'hospitalité à Athènes. A Colone, il entra dans le bois des Euménides, où il disparut.

mimaja (Q, 21) Posté le 15-09-2011 à 09:00 | Signaler un abus


[4] (fin)
En fait, il s'agit d'une promenade philosophique et psychanalytique à travers les objets, les rêves, les souvenirs (y compris les siens), les textes de Freud et les oeuvres littéraires, qui s'efforce de faire sentir les mécanismes fondamentaux de cette pensée inconsciente qui parle en nous plus que nous la parlons. Il insiste sur la pluralité des logiques, le rôle des métaphores et des éléments temporels, essayant de décrire différents modes d'organisation de l'inconscient et leur fonctionnement. Mais aucune affirmation ne se veut définitive, l'analyste, comme le rappelle Neyraut, étant à l'écoute d'un discours “qui s'énonce sur le divan et dont on attend avec une impatience renouvelée qu'il veuille bien confirmer ce qu'on pense de lui“.
L'intérêt du livre tient sans doute à la diversité des approches et des éclairages (psychanalytique, mais aussi philosophique) et à la diversité des objets qu'il se propose d'étudier. On écoute à travers lui non pas une seule voix, mais de multiples voix brisées qui nous parlent à chaque instant de différents lieux, en différentes langues et de différents objets. L'auteur affirme que derrière cette apparente “cacophonie” il est possible de trouver sinon un ordre semblable à celui du discours conscient, du moins “une petite logique de nuit". On reste pourtant sceptique à l'égard de nombreuses interprétations qu'il propose, en particulier lorsqu'il tente d'élucider son obsession des cadrans solaires et ses propres rêves."

mimaja (Q, 21) Posté le 15-09-2011 à 08:55 | Signaler un abus


[3] Neyraut (suite)

À propos de l’ouvrage « Les logiques de l'inconscient »,.J.-M. PALMIER écrit : [«Du rêve au mot d'esprit en passant par les fantasmes, l'inconscient ne cesse de se manifester dans une multiplicité de logiques qui semblent défier toute réduction. S'il ignore le temps, la négation, la mort, l'invraisemblance, il est pourtant, le lieu où se produit un sens qu'il donne, comme une énigme, à déchiffrer.
Michel Neyraut a tenté sinon de présenter, du moins de nous rendre sensible cette étrangeté fondamentale en s'interrogeant sur les liens qui existent, dans l'inconscient, entre le sens, la temporalité, la causalité. La construction assez impressionniste de son essai sacrifie souvent la clarté de l'exposé au profit de thèses, d'intuitions d'idées que l'auteur présente dans une logique qui, elle non plus, n'est pas toujours simple à déchiffrer.

[...]

mimaja (Q, 21) Posté le 15-09-2011 à 08:52 | Signaler un abus


[2] Neyraut (suite)

Avec « Alter ego », en parcourant d'un oeil neuf les théories de Freud, de Lacan, de Melanie Klein, de Winnicott, et de... Panurge, Michel Neyraut dresse, dans cette étude sur l'identification, une cartographie aussi sérieuse que drôle et documentée de la science des solutions imaginaires, qui répond à une question d'actualité : celle de savoir comment être unique alors qu'on cherche à être comme tout le monde.
Aux « ready made » dont Kalachnikov, l'inventeur de la célèbre mitraillette, est un des héros inattendus, l'auteur oppose la valeur de l'errance, c'est-à-dire des hasards de l'identification. Il poursuit la théorisation de nos identifications bigarrées, carnavalesques, en proposant que le concept d'«identème» y mette un peu d'ordre. Bref, Alter discute ici avec Ego pour le très grand plaisir d'une théorie qui n'est faite que de nous.




mimaja (Q, 21) Posté le 15-09-2011 à 08:47 | Signaler un abus


[1]

Jeu.. 15/9 : N => Michel NEYRAUT [Psychiatre et psychanalyste] — Alter ego, étude psychanalytique - Le transfert, étude psychanalytique - Les raisons de l'irrationnel - Les Logiques de l'inconscient - Le Transfert, étude psychanalytique

Liberté et rigueur caractérisent la pensée - et l'écriture - de Michel Neyraut. Venu de la psychiatrie et de la phénoménologie à la psychanalyse il a profondément renouvelé la compréhension de la cure psychanalytique en considérant le phénomène que constitue le transfert par rapport à "la précession du contre-transfert". Son livre « Le transfert » est devenu classique. Plus récent, « Les raisons de l'irrationnel » propose une articulation entre les différentes logiques à l'œuvre aux différents niveaux du fonctionnement psychique et ré-envisage le déroulement des événements de l'esprit en fonction du jeu relatif de mouvements de pensée plutôt qu'en fonction du jeu des "instances". Thèmes exigeants ? Sans doute mais constamment traités en référence à la clinique la plus vivante, celle des personnalités en archipel ou de la nostalgie sur laquelle Neyraut a publié un article fondamental.

[...]


jeanine52 (25) Posté le 15-09-2011 à 07:30 | Signaler un abus


Freud en conclut que ce n’est pas notre moi actuel que nous aimons, mais à travers lui ce que nous avons été, la manière dont nous avons été aimés, et la façon dont nous rêvons de le restaurer. En somme, ce n’est pas nous que nous aimons. Narcisse n’est pas un homme qui contemple son reflet. Il regarde devant et derrière, en amont puis en aval : il regarde son passé et façonne un idéal. Voilà ce qu’est s’aimer.

Nous voulons nous aimer comme nous avons été aimés… Etre narcissique, c'est avoir un idéal qui s'enracine dans le passé.

jeanine52 (25) Posté le 15-09-2011 à 07:29 | Signaler un abus

Qu’est-ce que le narcissisme ?

narcisse.1203804250.jpgL’amour de soi paraît suspect, foncièrement indifférent et globalement égoïste. Il n’y a pas d’aspiration morale dans cet amour, mais une autocontemplation suffisante, presqu’indécente. Nous blâmons ceux qui s’aiment trop, quoiqu’au fond nous les envions, car qui ne cherche à conquérir cette admiration ?

Nous pensons donc que s’aimer soi-même revient à s’admirer, à aimer ce que l’on est, à se regarder faire et à s’en satisfaire. Le narcissique vit dans un monde de miroirs, où chaque chose est une image de soi, chaque amour une représentation du MOI. Certes. Mais l’on ne se dit pas assez que cet amour a une histoire, qu’il a nécessairement un désir... Alors, d’où vient-il ? Et que veut-il ?

On ne devient pas adulte en restant Narcisse. On peut avoir le sentiment d’estime de soi, on peut être fier de la réussite de ses projets, de la réalisation de certains buts. Mais on devient adulte sous le regard des autres et de la société : on grandit en étant jugé, critiqué, accusé… et peu à peu c’est sous le coup de nos propres critiques que nous évoluons.

En marge de ces vicissitudes, nous gardons un vague souvenir d’enfance, celui d’un autre temps qui ne paraissait pas si difficile. Un vieux temps où les désirs étaient rois, l’affection comblée, les besoins satisfaits. Comment ne pas vouloir répéter cet ancien temps ?

Freud en conclut que ce n’est pas notre moi actuel que nous aimons, mais à travers lui ce que nous a

tamounette (77) Posté le 14-09-2011 à 21:48 | Signaler un abus



M comme MORALDI Véronique, auteur de

La fille de son père (2011)
N'ayez pas peur d'éduquer vos ados... (2010)
Le fils de sa mère (2008)
La fille de sa mère (2006)
Gardez-vous d'aimer un pervers (2004)

Résumé de carrière de l'auteur

Formée à la communication relationnelle (méthode ESPERE de Jacques Salomé), Véronique Moraldi est spécialisée dans les problèmes de harcèlement moral, l'étude des personnalités narcissiques et l'ana lyse des liens familiaux et de leurs conséquences sur les comportements des adultes. Aux Éditions de l'Homme, elle est l'auteur de Gardez-vous d'aimer un pervers, de La fille de sa mère, du Fils de sa mère et de N'ayez pas peur d'éduquer vos ados…




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