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Blog de Jean-Michel Gurret

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Jean-Michel Gurret partage avec vous ses journées, ses exercices, ses conseils minceur, et ses recettes préférées.

posté le 14-mars-2016
Le rutabaga, un légume oublié à redécouvrir pour s’armer contre le cancer

Puissant antioxydant, le rutabaga déserte cependant nos assiettes depuis de nombreuses années. Retour sur cet ancien légume oublié qui pourrait bien nous aider à combattre les cancers.

Plus connu sous le nom de « chou-navet », ou encore « chou de Siam » au Québec, le rutabaga est issu du croisement entre le navet et le chou frisé.

Originaire de Scandinavie, le rutabaga apparaît dès la fin du Moyen-Age. Mais à l'instar du topinambour et du chou-rave, ce légume ancien est tombé dans l'oubli après la Seconde Guerre Mondiale, période durant laquelle sa consommation quotidienne a contribué à son association aux périodes de disette et à la pauvreté dans l'esprit populaire.

Les bienfaits du rutabaga

Le rutabaga appartient à la famille des crucifères. Tout comme les différentes variétés de choux, il est fortement pourvu en vitamine C et constitue donc un aliment de choix pour booster son système immunitaire durant la période hivernale.

D'autre part, les crucifères sont réputés pour leur haut pouvoir antioxydant. La consommation régulière de rutabaga protégerait ainsi des cancers, notamment ceux du poumon, du système digestif et des ovaires. Le rutabaga est également source de potassium, un minéral qui intervient dans le processus de digestion et joue un rôle essentiel au bon fonctionnement des muscles dont le cœur. Cette richesse en minéraux lui confère des propriétés diurétiques qui font du rutabaga un allié contre l'hypertension artérielle.

Enfin, comme tout légume-racine, sa teneur en fibres est importante et participe donc à la régulation du transit intestinal.

Comment cuisiner le rutabaga ?

Le rutabaga se différencie du navet par ses feuilles lisses et sa chair jaune. Il se récolte à partir de septembre et se conserve deux mois en cave, mais pas plus de 5 jours dans le bac à légume du réfrigérateur. Après quoi, il devient mou et fibreux. Le rutabaga peut se consommer cru comme cuit. Cependant, il est traditionnellement cuisiner en purée, en gratin ou encore en potage.

Aujourd'hui, les grands chefs cuisiniers s'amusent à réhabiliter les légumes anciens comme le rutabaga dans des préparations surprenantes. Il faut savoir que les fanes et les fleurs du rutabaga, également comestibles, constituent un met de choix dans la cuisine portugaise. La consommation de ce légume oublié participe donc à une initiative zéro déchet.

Lu sur bioalaune.com

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posté le 9-mars-2016
Le chou de Pontoise, un légume en or

Tombé dans l'oubli, un producteur lui a redonné une nouvelle vie. Il est désormais dans les cuisines de grands chefs étoilés.

Comme il aime à le dire, Laurent Berrurier est né dans les choux. C'est au milieu d'habitations qu'il cultive son héritage, le chou de Pontoise. Encore récolté à la main, ce chou réserve bien des surprises gustatives. "Ce chou il est vraiment exceptionnel. Les feuilles sont très douces. Souvent les choux que l'on trouve, les hybrides, sont un peu acides quand on les mange, mais celui-là il est vraiment très doux, la feuille est très fine et il y a une petite sucrosité que vous ne retrouverez sur aucun chou", explique le maraîcher. Laurent Berrurier est aujourd'hui l'un des derniers à en posséder la souche pure. Il cultive lui même ses semences et pratique une agriculture raisonnée. L'insecticide n'intervient qu'en cas de problème, en dernier recours. Il cultive ainsi 8 000 choux par an.

Pari gagnant

Dans les années 80, face à la grande distribution et l'urbanisation à outrance, de nombreux agriculteurs vendent leurs terres. Le chou de Pontoise tombe en désuétude, Laurent Berrurier songe même à renoncer mais résiste. Un pari gagnant. En 2009, sa rencontre avec le chef Yannick Alleno marque un tournant. À l'époque, le chef étoilé est en quête de produits oubliés du terroir parisien. Ensemble le maraîcher et le cuisinier testent des nouvelles recettes. Le chou de Pontoise inspire le grand chef. Yanick Alleno ne tarit pas d'éloges sur ce chou et en parle comme d'un grand vin. "Il est rustique, profond, a du caractère et a une place importante dans l'assiette. À la limite la volaille sera l'accessoire du chou", estime le chef étoilé. Aujourd'hui Laurent Berrurier fournit les tables de 130 grands chefs parisiens.

Lu sur francetvinfo.fr

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posté le 7-mars-2016
Bien-être en hiver : quelle alimentation pour rester en forme ?

En hiver encore plus que durant toute autre saison, l'alimentatione est source de bien-être. en consommant les bons aliments, vous restez en forme et luttez mieux contre les maux de l'hiver comme la fatigue et l'irritabilité.

L'IMPORTANCE DE LA VITAMINE D ET DES OMEGA-3 DANS VOTRE ALIMENTATION

La vitamine D et les Omega-3 contribuent au bon fonctionnement de la sérotonine. Cette hormone affecte directement des fonctions physiologiques comme l'humeur ou encore le sommeil. Pour votre bien-être en saison hivernale , veillez donc à ce que votre alimentation soit riche en vitamine D et en Omega- 3. Pour cela, misez sur les poissons gras comme la truite, le saumon, la sardine ou encore le maquereau.

MISEZ SUR UNE ALIMENTATION RICHE EN FER

Le fer est très important pour votre bien-être physique et psychique. En effet, on sait depuis très longtemps que le fer est primordial pour le corps, il apporte l'énergie et contribue aux bonnes performances intellectuelles ainsi qu'à la mémoire. Vous pouvez apporter à votre corps du fer grâce à une alimentation adéquate. Mangez de la viande et du poisson. L'aliment le plus riche est le boudin noir. Vous en trouvez également dans les lentilles et les légumes secs. Pour assimiler le fer, votre corps a besoin de vitamine D, d'où l'importance d'une alimentation bien équilibrée.

COMBATTEZ LA FATIGUE GRÂCE À UNE ALIMENTATION RICHE EN VITAMINE C

Consommez des agrumes durant l'hiver pour éviter les coups de fatigue en cours de journée et vous assurer forme et bien-être. Riches en vitamine C et de saison, les agrumes sont peu caloriques et peuvent donc être consommés sans modération dans votrealimentation si vous aimez ça ! Consommez-les crus en morceaux ou bien en jus de fruit frais, vous pouvez même les mélanger afin d'adoucir leur goût.

LA VITAMINE B9 DOIT ÊTRE PRÉSENTE DANS VOTRE ALIMENTATION

En cas d'anémie en acide folique, autre nom de la vitamine B9, vous risquez de vous sentir très fatiguée, voire déprimée . Des troubles du sommeil peuvent par ailleurs survenir tout comme des troubles de la mémoire et une certaine irritabilité. Pour votrebien-être, prenez garde à adopter une alimentation riche en vitamine B9. Le foie, les épinards, le cresson, la mâche et bon nombre de légumes à feuilles vertes contiennent de la vitamine B9. Vous en trouvez également dans le pain frais, les céréales, les pommes de terre, la viande, le poisson et les oeufs.

LE CHOCOLAT DANS L'ALIMENTATION FAIT DU BIEN AU CORPS ET À L'ESPRIT

Riche en magnésium, le cacao permet d'aider à combattre la fatigue, le stress et même l'anxiété. Comme la vitamine D et les Omega-3, il facilite l'assimilation de la sérotonine dans l'organisme, hormone qui apporte la sensation de bien-être. Vous pouvez donc vous accorder ce petit plaisir et manger un ou deux carrés de chocolat après le repas dans le cadre d'une alimentation équilibrée. Attention toutefois à choisir du chocolat noir plutôt qu'au lait ou blanc. Ces deux derniers sont plus riches en sucre qu'en cacao et le plaisir gustatif risque de vite laisser place à un peu de culpabilité !

Lu sur grazia.fr

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posté le 4-mars-2016
Boire du thé pour protéger son coeur

Des chercheurs américains ont observé 600 personnes en bonne santé pendant une période de 15 ans pour essayer de mieux comprendre l’effet du thé sur l’organisme.

Boire une à trois tasses de thé par jour, qu’il soit noir ou vert, serait bénéfique non seulement pour la ligne, mais également pour la santé cardiovasculaire. D’après une étude menée par des chercheurs américains du John Hopkins Hospital de Baltimore et présentée aux sessions scientifiques de la American heart association’s epidemiology/lifestyle, les personnes qui boivent du thé courent 35% de risques en moins de souffrir d’un accident cardiaque au cours de leur vie.

L’équipe du professeur Elliott Miller a suivi 600 personnes en bonne santé, sans antécédents de maladies cardiaques, pendant 15 ans. La quantité de dépôts de calcium dans leurs vaisseaux sanguins a été analysée avec attention. Parmi les volontaires, certains ont eu une crise cardiaques, d’autres un accident vasculaire cérébral, d’autres encore une douleur à la poitrine et certains sont décédés d’une maladie cardiaque.

Les résultats indiquent clairement que les buveurs de thé présentent moins de dépôts de calcium dans les artères et ont moins souffert de maladies cardiovasculaires que les autres. En cause, d’après les scientifiques, l’effet protecteur de cette boisson grâce à sa composition riche en flavonoïdes, des antioxydants bénéfiques pour la santé du cœur. Ils ont remarqué également un mode de vie plus équilibré chez ces personnes. Plusieurs facteurs rentrent donc en jeu lorsqu’il s’agit de protéger son système cardiovasculaire. Une alimentation saine, un bon sommeil, une activité physique régulière et quelques tasses de thé y contribuent activement.

Lu sur santemagazine.fr

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posté le 18-fevrier-2016
Discrimination : le surpoids nuit à l'embauche des femmes

Selon une étude du Défenseur des droits et de l'OIT, les discriminations liées à l'apparence physique sévissent encore dans le monde du travail.

Non mesdames, il n'est pas admissible de se voir refuser un emploi sous prétexte que l'on est engoncée dans du 44. D'ailleurs – et même s'il n'a presque jamais fait jurisprudence –, le critère de l'apparence physique fait partie, avec l'âge, le sexe et la nationalité, des motifs illégaux de discrimination à l'embauche depuis quinze ans. Hélas, le dernier baromètre de l'Organisation internationale du travail (OIT) et du Défenseur des droits sur la perception des discriminations dans l'emploi publié ce lundi révèle que 8 % des chômeurs interrogés auraient fait les frais de discrimination au travail du fait de leur morphologie. Autre fait notable : les femmes seraient plus concernées par la question avec 10 % de chômeuses visées contre 6 % de demandeurs d'emploi masculins.

Si les discriminations à l'embauche portent le plus souvent sur l'âge, le surpoids s'avère le facteur le plus handicapant. À tel point que « 33 % des chômeurs concernés disent avoir été confrontés à des questionnements en lien avec leur corpulence ». Toujours selon cette étude réalisée auprès de 998 sans emplois âgés de 18 à 65 ans, les femmes obèses estiment être huit fois plus discriminées en raison de leur apparence physique que les demandeuses d'emploi à l'indice de masse corporelle conforme à la moyenne. Un ostracisme qui s'accompagne d'idées reçues. Ainsi, selon Sylvie Benkemoun, vice-présidente du groupe de réflexion sur l'obésité et le surpoids (le Gros) citée par France Info, l'embonpoint est fréquemment associé à l'idée d'incapacité. Incapacité à se contrôler, à aller de l'avant, à se comporter comme l'ensemble des membres d'un collectif de travail.

45 000 euros d'amende

Les conclusions du 9e baromètre du Défenseur des droits et de l'OIT mettent aussi en évidence « la place importante qu'occupe dans les recrutements la conformité des candidats aux normes socialement admises, tant pour les codes vestimentaires, plus facilement modifiables, que pour les caractéristiques physiques, pourtant inaltérables ». Résultat : les cinq inconvénients les plus cités sont quasiment tous en lien avec une singularité « visible ».

Problème : la discrimination à l'embauche fondée sur l'apparence physique est encore plus difficile à prouver que les autres. Allez expliquer à un juge qu'on ne vous a pas retenu(e) parce que vous n'avez rien de la taille mannequin. En effet, prouver que votre candidature a été écartée en raison de vos kilos en trop relève de l'impossible. D'autant qu'un employeur pourra toujours arguer que le ou la postulant(e) ne satisfaisait pas les « exigences professionnelles essentielles et déterminantes liées au poste ». Toujours plus facile que d'annoncer à quelqu'un qu'il ou elle n'a pas « le physique de l'emploi »… Reste que le Code pénal prévoit tout de même 45 000 d'amende et trois ans de prison pour un recruteur coupable de discrimination. 

Lu sur lepoint.fr

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