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Forum MentalSlim

Moral et motivation

graphitie (LANS EN VERCORS, 38) Posté le 08-05-2010 à 18:21 | Signaler un abus

de jolies paroles ou poèmes ou écrits.....

J'ai envie de partager ce joli poème avec vous de Christian Bobin

Il faut naître deux fois
pour vivre un peu,
ne serait-ce qu'un peu.
Il nous faut naître par la chair
et ensuite par l'âme.
Les deux naissances sont
comme un arrachement.
La première jette le corps
dans le monde
la seconde balance
l'âme jusqu'au ciel.

Grace à ce programme nous revivons bien une seconde fois non ? Moi en tout cas j'espère !

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Toutes les réponses à ce message :

Croquine_1963 Posté le 22-11-2012 à 21:27 | Signaler un abus


;)

Croquine_1963 Posté le 22-11-2012 à 21:25 | Signaler un abus


:) :) :) :) :-q :-q :-q :-q *-:) O:-) :x :-*

Croquine_1963 Posté le 22-11-2012 à 21:24 | Signaler un abus


;) :) :) :) :) :)



mimaja (Q, 21) Posté le 22-11-2012 à 19:32 | Signaler un abus



Savoir s'extraire de l'agitation, des foisonnements volubiles superficiels... Vivre le silence… la méditation…
---
Certains maîtres spirituels (ou guides spirituels) disaient que, pour eux, une seule « chose » avait, comment dire, constitué le point central de leur vie.

C’était : « Transcender » Rentrer en soi, aller dans les couches profondes de soi, en d’autres termes : méditer.

C'est-à-dire que si l’on ne fait pas directement par soi-même l’expérience du SILENCE en soi, l’expérience de ce qui est attaché et de ce qui se détache, tout ce qu’on peut entendre au sujet du détachement ou autre reste « les paroles d’un autre », reste « lettre morte ».

Croquine_1963 Posté le 22-11-2012 à 10:36 | Signaler un abus

UNE DERNIèèèèèèèèèèèèèèère :^> :^> :^> :) :x :x :x :x

Trouver sa joie intérieure :D :D :D
Une manière de retrouver la joie consiste à savoir savourer les petits bonheurs de la vie quotidienne. En accueillant avec gratitude les instants heureux que nous prodigue le quotidien, la joie grandit en nous. Chaque jour nous offre des occasions de nous réjouir. Pensons par exemple au regard amical de la vendeuse qui met du baume au cœur, aux merveilleux levers de soleil, ou au soleil de printemps qui nous réconforte au sortir de l’hiver. Il y a les échanges durant lesquels nous avons l’impression de toucher le cœur de notre interlocuteur. Il y a les belles illustrations de ce livre, qui nous invitent à la contemplation. En nous imprégnant de la beauté de ces images, en imaginant ce qu’elles représentent dans la réalité, nous entrons en contact avec la joie qui repose au fond de notre cœur et n’attend que d’être éveillée.

Toutefois, seul celui qui est prêt à prendre en compte les expériences négatives de sa vie, entrera véritablement en contact avec sa joie. La tristesse appartient aussi à la joie. Celui qui refuse de regarder en face sa tristesse, la souffrance induite par des contrariétés, le poids de la solitude ou de l’abandon, ne peut pas connaître la joie. Il vit constamment dans la crainte d’être submergé par des états d’âme dépressifs. Seul celui qui est prêt à accueillir et à affronter tous les sentiments, trouvera en lui la joie qui se cache sous la colère, la jalousie ou la peur. Il ne sert à rien de s’efforcer d’être joyeux en permanence. C’est seulement si nous acceptons d’être tristes, angoissés ou désemparés de temps à autre, que nous accéderons à la joie qui est en nous.

Anselm Grün
Un cœur en paix, La sérénité au quotidien, p 13-14

c'est fini pour aujourd'hui, ce ne sont pas des poème, mais " de belles paroles ".....
encore une fois................. " à prendre ou à laisser " libre à vous et surtout " liberté d'expression "
avec respect :-q

Croquine_1963 Posté le 22-11-2012 à 10:32 | Signaler un abus


suite et fin promis !!! :-O :-O :-O :^> ;)

et ce encore moins si ce jugement s’applique à nous-mêmes : que nous nous sentions victimes ou coupables, c’est un jugement, et le jugement arrête notre compréhension. Lorsque les choses enfin sont vues, clairement et entièrement sous tous leurs aspects, alors nous pouvons soit les transformer lorsque c’est possible, soit les accepter telles qu’elles sont et faire enfin la paix avec elles.

Ce qui est malade, c’est notre regard, et c’est la manière dont ce regard est prisonnier d’une peur, la peur de perdre l’idée que nous avons de nous-mêmes. La situation vécue crée en nous une émotion qui nous “divise” dans notre image personnelle, et nous luttons contre cette division en déplaçant cette émotion dans le corps. Cette peur pourtant n’a pas lieu d’être, car nous sommes infiniment plus vastes que cette “idée de nous” dont la maladie cherche à nous libérer.

Pour dire les choses d’une manière imagée, c’est comme si nous avions peur d’une ombre, avant de découvrir que les ombres n’ont pas d’existence propre, elles s’évanouissent lorsque la lumière éclaire la situation. Et la lumière vient de la réalité elle-même, lorsque notre regard est assez libre de l’idée qu’il a de lui pour voir les choses comme elles sont.

Croquine_1963 Posté le 22-11-2012 à 10:30 | Signaler un abus

texte correspondant à l'image précédente :^> :^> :^> :^>

Pour dire l’essentiel

La maladie bien souvent semble être comme un langage, comme si nous prenions notre corps à témoin de notre mal-être. Ce processus naturellement se fait à notre insu, de sorte qu’il nous est difficile de comprendre ce que nous cherchons à nous dire par notre corps. Et quand bien même nous pensons comprendre, cette compréhension ne suffit pas toujours à nous libérer de cette guerre intérieure que nous exprimons par nos symptômes. Car il ne suffit pas de voir, encore faut-il faire la paix avec ce que nous voyons. La guérison du cœur, c’est d’abord changer notre regard sur ce qui nous a blessés.

Dans la mesure où la maladie est psychosomatique – ce qui peut ne pas être le cas, du moins pas directement – nous somatisons pour trois raisons :

La situation que nous avons vécue nous met dans une contradiction.
Cette situation et cette contradiction impliquent l’idée que nous avons de nous.
La douleur ressentie entre en résonance avec une douleur semblable du passé.
Nous nous identifions avec notre histoire et ses déchirures, et cela pose en nous une question douloureuse et secrète : “Qui suis-je pour l’autre, et quelle est ma place dans cette histoire ?” À notre insu, cette question nous anime et nous amène à la retrouver au fil du temps, à travers des situations qui réveillent cette douleur d’enfance. Et chaque fois c’est comme si un choix nous était posé : le choix de savoir et de définir “qui nous sommes” face à ces situations rencontrées.

La maladie est un langage voilé qui pose à notre conscience un vrai défi, le défi d’y voir clair. Notre vision doit se libérer de ses voiles et de ses censures, parmi lesquelles le principal obstacle est un “jugement”, qui lui-même est souvent en réaction à une peur qui ne dit pas son nom. Car nous ne pouvons pas comprendre ce que nous refusons ni ce sur quoi nous portons un jugement, et ce encore moins si ce jugement s’applique à nous-mêmes : que

Croquine_1963 Posté le 22-11-2012 à 10:23 | Signaler un abus


un peu de tout ! ;)

" en chemin " ;) hi hi j'ai découvert ces textes, qui s'assemblaient au fur et à mesure comme " un puzzle " ;) :D enfin, c'est l'effet que ça me fait maintenant que je " rassemble " tout cela..... :^> :^> :^> :^> :^> :^>

Croquine_1963 Posté le 22-11-2012 à 10:21 | Signaler un abus


réflexion " sur la maladie "......très profond, j'ai dû la relire plusieurs fois pour bien " capter " :^> :^> :^> :^> *-:) *-:) ;)

Croquine_1963 Posté le 22-11-2012 à 10:17 | Signaler un abus



La réussite combine donc des hauts et des bas, du positif et du négatif, de la lumière et des ombres. *-:) *-:) *-:)
(c'est rassurant hi hi hi ) ;)

La lumière de la réussite est dans l’élan magnifique qui nous fait tendre, en permanence, vers l’en-avant et l’en-haut et amène l’homme à se transcender. L’ombre est dans le doute et l’angoisse qui l’envahissent chaque fois qu’il perd le contrôle de lui-même et craint de ne plus pouvoir progresser parce qu’il est bouté hors de la réussite par des circonstances défavorables ou par une défaillance personnelle qu’il croit insurmontable.

Guy Missoum





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